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Dossier de la Rédaction

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Christine Robichon, ambassadrice tout-terrain

La riche carrière de cette diplomate devrait l’aider à gérer la relation franco-camerounaise.

Venue de Malé aux Maldives, où elle représentait la France comme ambassadeur, Christine Robichon est de ces hauts fonctionnaires dont la trajectoire permet de penser qu’elle a du métier. A 60 ans, cette diplômée d’études politiques poursuit une carrière entamée il y a 33 ans à la direction Afrique du nord et Moyen-Orient du ministère français des Affaires étrangères. Au Quai d’Orsay cependant, qu’elle quitte dès le début de sa carrière en 1981 pour la Syrie, elle ne travaillera que durant de brèves périodes d’un an ou deux. Le reste du temps qu’elle aura consacré à sa profession de diplomate s’étant déroulé loin de Paris.

De l’Afrique, par exemple, elle connaît les deux bouts pour avoir servi dès les années 1980  autant dans sa partie septentrionale (ancienne première secrétaire à l’ambassade de France au Maroc, ex-consul général à Oran en Algérie) que méridionale (Afrique du Sud, consul général à Johannesbourg de 1998 à 2001) et même dans son segment de transition au Soudan (ambassadrice de 2004 à 2008) avant la partition. Mais l’ambassadrice de France s’est aussi frottée aux négociations internationales à New York où elle a été le deuxième conseiller de la Mission française à l’Onu avant de s’établir à Washington comme premier conseiller à l’ambassade de France (1995-1998).

Ministre plénipotentiaire, Mme Robichon a été le manager, comme ambassadeur itinérant (2009), des implications internationales de l’accident de Yemenia Airways aux Comores avant de diriger l’ambassade française au Sri Lanka. Polyglotte, elle parle l’anglais et le français.

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