Vendredi, 15 Avril 2011 07:07
Depuis dimanche dernier, les réunions se succèdent. Et elles sont quotidiennes. Après la publication des résultats partiels des législatives montrant une forte progression des trois principaux partis d’opposition, chacun peaufine sa stratégie.Vendredi, 15 Avril 2011 07:02
Quatorze clubs s’affrontent depuis jeudi dans le cadre de la coupe d’Afrique des clubs vainqueurs de coupe.Jeudi, 14 Avril 2011 17:16
Le personnel de la brigade des contrôles du ministère de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire s’initie à une meilleure exécution du BIP.Jeudi, 14 Avril 2011 17:03
Le Premier ministre a signé avant-hier le décret portant répartition de la Dotation générale de la Décentralisation.Jeudi, 14 Avril 2011 17:01
Le renouvellement du bureau exécutif de l’organisation sera l’un des dossiers de l’assemblée générale qui s’ouvre ce vendsredi à Yaoundé.Jeudi, 14 Avril 2011 13:46
Le chef de l’Etat est représenté par le Premier ministre, chef du gouvernement à la conférence ministérielle qu’organise l’Union africaine ce jeudi à Yaoundé.
Jeudi, 14 Avril 2011 13:43
Ces gamins de 5 et 6 ans ont été consumés par les flammes alors qu’ils s’amusaient dans la chambre.
Jeudi, 14 Avril 2011 13:38
After visiting palm and oil mill estates in Ndian Division, the tour continued in Limbe, Mondoni and Benoe Banana Projects in Fako Division.Jeudi, 14 Avril 2011 13:34
Un processus baptisé « opération Gold » a été lancé hier à Yaoundé.Jeudi, 14 Avril 2011 13:28
Des mesures d’urgence prises pour aider les populations à ne pas trop souffrir du manque de ce liquide précieux, surtout en saison sèche.Jeudi, 14 Avril 2011 13:24
Le 3e colloque organisé par le Cours supérieur interarmées de défense (CSID) apporte des éclairages depuis mercredi à Yaoundé.Mercredi, 13 Avril 2011 16:40
Members of the Steering Committee of the Independent Observer Project for the Control and Monitoring of Forestry Law violations in Cameroon have been told that as from January 2013, all wood circulating in Cameroon and Europe must be certified.Mercredi, 13 Avril 2011 16:38
Maize farmers and dealers in cereals in general in the country are reflecting on how to bring all actors together to partner with public authorities to boost production in industrial scale for local consumption and export.Mercredi, 13 Avril 2011 16:02
Le pays des Lions Indomptables occupe la 48ème place dans le dernier classement mensuel FIFA publié hier.Mercredi, 13 Avril 2011 15:58
Des personnels sanitaires ont été formés à la bonne utilisation des tests de diagnostic rapides qui seront bientôt dans le circuit.
Mercredi, 13 Avril 2011 15:53
Les représentants de cet organisme des pays de la sous-région sont à Yaoundé jusqu’à ce vendredi, pour discuter de la nouvelle stratégie régionale à adopter.
Mercredi, 13 Avril 2011 13:38
Les ministres des Finances de la zone optimismes au terme de leurs travaux de N’Djamena.Mercredi, 13 Avril 2011 12:17
The seminar in Buea is the third in a series of national efforts to vulgarise OHADA laws to all personnel under the Ministry of Justice.
The need to protect investments and guarantee judicial security in the business world, features among the priorities of the Cameroon government. However, despite government’s efforts, Cameroon has not remained unscathed to treats of judicial insecurity that still continue to plague international business. Cognizant of this unenviable phenomenon, the Ministry of Justice has put in place an action plan that in the short, medium and long terms should permit the perfect application of OHADA laws. In this light, a five-day seminar/workshop was organised in Buea from April 04 - 08 to reinforce capacities of personnel under the Ministry of Justice. The meeting brought together Magistrates, Public Notaries, Sheriff-Bailiffs, Lawyers and Court Registrars, all serving within the South West Court of Appeal.
In his opening address on April 04, Oumarou Bamanga, the representative of the Vice Prime Minister, Minister of Justice, Keeper of the Seals underscored the importance of the OHADA Treaty which, he said, does not only deal with current practical issues but is a legal instrument which guarantees the protection of investments by giving to all stakeholders equal treatment. “OHADA appears therefore to be the best answer today to threats of judicial insecurity in the business world,” he stressed.
But because the “Cameroonian Judiciary carries in its system elements of insufficiency, some of which are attributable to qualitative incapacities of the men of law...one of the strategic reforms necessary for a rapid resolution of commercial conflicts must come through continuous and permanent training of various judicial personnel for a better administration and dispensation of justice,” Oumarou Bamanga emphasised. In this vein, he noted, the government with supports from its partners and through HIPC Funds, is sparing no effort to train judicial and para-judicial personnel in the judi-economic field and on human rights. Apart from the mastery of the OHADA laws, the importance of the training also has economic repercussions. Said he : “ No durable economic activity can reasonably take off if a legal framework of precise good laws is not known in advance, is not correctly applied and with a certain stability based on ascertainable case law.”
Oumarou Bamanga voiced optimism that thanks to the seminar, participants will henceforth exhibit a better mastery of OHADA laws whose norms are imperative in a sustainable economy striving for poverty reduction, social peace and security of investments.
It should be recalled that OHADA is the French acronym for “Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affairs” literally translated in English as the “Organization for the Harmonisation of Business Law in Africa” (OHBLA). OHADA is an international organization created by a treaty signed in Port Louis (Mauritius) on 17th October 1993 by 14 African States. Seminar participants were briefed that since its inception, the achievements of OHADA “are very impressive with about 2000 new and modern articles of the law called Uniform Acts.” Financed by HIPC/Italy/ Cameroon funds, the seminar that closed its doors on April 8, gave participants the best mastery of OHADA Community Laws, their professional capacities improved and harmonized solutions expected to be found to daily practical problems in the field.
Mercredi, 13 Avril 2011 12:13
La stratégie mise sur pied par le président de la commission communale pour la campagne d’intensification des inscriptions sur les listes électorales à Maroua 3ème porte ses fruits.
Comme toutes les équipes RDPC déployées sur le terrain, la commission communale de Maroua 3ème pour la campagne d’inscription sur les listes électorales a été confrontée à une conjoncture : la plupart des électeurs potentiels ne sont pas détenteurs de la carte nationale d’identité, pièce exigible au moment du retrait de la carte d’électeur et du vote. Ce problème concerne non seulement les nouveaux électeurs appelés à s’inscrire sur les listes électorales mais aussi ceux qui le sont déjà depuis 2007. Cet obstacle de taille complique énormément le travail des commissaires de la Commune de Maroua 3è qui sillonnent la circonscription électorale depuis quelques mois. A ce jour, 6 981 nouveaux électeurs se sont inscrits dans cette unité politique. Parmi eux, 200 l’ont été par témoignage. Ces données confirmées par Elecam démontrent à souhait l’immense défi à relever par les membres de cette commission. Le temps presse et il faut agir vite. C’est pourquoi, le président de la commission communale a décidé à titre personnel de faire établir les CNI à tous les électeurs potentiels de cette circonscription. A ce jour, l’opération lancée par Hamidou Sadou a déjà délivré 4 500 cartes nationales d’identité pour un montant de 13 500 000 francs CFA. L’opération est appelée à se poursuivre puisque le donateur compte porter le compteur à 10 000 cartes. Les bénéficiaires sont repartis dans les différentes localités de la commune de Maroua. Selon la clé de répartition, chaque localité reçoit 500 à 600 cartes pour ses électeurs potentiels. La Commission s’est déployée notamment à Doursoungo, Kongola-Djolawo, Kongola-Djidewo, Kongola-Ouro Saïd, Djoulgoulf, Balaza-Alkali, Balaza-Lawane, Kodeck et Douggoï pour aller chercher les électeurs qui trainent les pieds. Les chefs traditionnels ont été mis à contribution pour sensibiliser leurs populations sur l’enjeu de l’opération. Selon le président de la commission, l’enjeu est très capital, car souligne-t-il « au-delà de l’élection présidentielle qui pointe à l’horizon, il ya les élections législatives et municipales l’année prochaine ». « Il faut donc que les populations s’inscrivent massivement par rapport à toutes ces échéances », conclut-il. L’équipe de Hamidou Sadou poursuit le travail sur le travail, il est question dit-il d’arriver à 14000 voire 15000 nouveaux inscrits qui viendront ainsi s’ajouter aux 35 920 anciens électeurs, inscrits depuis 2007 dans cette unité politique.
Dimanche, 10 Avril 2011 11:42
The Yaounde 3rd District Council in Mfoundi Division, Centre Region has gone into partnership with a network of microfinance institutions, “Mutuelles Camerounaises d’epargne et de credit, (MUCADEC)” to boost youth entrepreneurship and support micro projects that can generate wealth and create jobs.Jeudi, 07 Avril 2011 17:44
Le ministre de l’Energie et de l’eau était à l’Assemblée nationale hier pour la défense du texte proposé par le gouvernement.
Jeudi, 07 Avril 2011 17:43
Cependant, les frappes de l'ONU et de la France en divisent l'Afrique.
Laurent Gbagbo était toujours hier soir retranché, avec ses proches, dans sa résidence de Cocody à Abidjan. Les pro-Ouattara, aidés comme on le sait par la France et l’ONU n’ont pas réussi à l’en déloger avant-hier. Cependant, le chef de la diplomatie française Alain Juppé reste optimiste. Il a encore affirmé hier que la chute de Laurent Gbagbo interviendrait «inéluctablement», se gardant bien de fixer un délai précis. De guerre lasse, la force française Licorne en est désormais réduite à « frapper des objectifs militaires près de la résidence » et à porter secours aux diplomates. Alors que le secrétaire général de l'ONU lui supplie pratiquement Laurent Gbagbo à «quitter le pouvoir».
S’agissant justement des frappes de l'ONU et de la France en Côte d'Ivoire, elles irritent de plus en plus les Africains. Nombreux sont ceux qui y voient une insulte au droit et à notre continent. C’est notamment le cas pour un groupe d'hommes politiques de notre pays. Ils ont lancé mardi, via internet, une pétition contre "l'impérialisme mondial" en Côte d'Ivoire, dénonçant, à travers l'intervention de la France et de l'ONU, "une nouvelle guerre colonialiste".
De son côté, l'Afrique du Sud, membre non-permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, qui avait voté le 30 mars la résolution apportant son "entier soutien" à la Mission de l'ONU en Côte d'Ivoire (Onuci) a clairement exprimé ses réserves. Le président en exercice de l'Union africaine (UA), l'Equato-guinéen Teodoro Obiang Nguema, a indiqué que si l'UA exerçait des "pressions" pour que Ouattara soit reconnu président, cela ne devait pas "impliquer une guerre, une intervention d'une armée étrangère".
L'Angola, soutien traditionnel de Laurent Gbagbo, a jugé qu'il était le président "élu constitutionnellement", bien que Luanda se soit rallié à la position de l'UA reconnaissant Ouattara. José-Maria Fernandes, porte-parole du ministère angolais des Affaires étrangères a vertement critiqué l'intervention française aux côtés de l'Onuci.
"Licorne dégage. Onuci dégage !" c’est le cri lancé par Malick Ndiaye, un universitaire sénégalais, au nom de la Coordination des intellectuels d'Afrique, basée à Dakar. Quelle est cette France qui insulte le droit ?", s'est-il interrogé.
Mais plusieurs pays africains approuvent l'intervention, au nom de la "protection des civils".
Le Nigeria, président de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'ouest (Cédéao) qui avait elle-même envisagé dès décembre une opération militaire en Côte d'Ivoire, soutient sans surprise cet engagement, "afin de protéger les civils innocents".
"L'ONU n'a fait que répondre à une demande de la Cédéao qui avait demandé à l'Onuci de s'impliquer plus pour la protection des civils en Côte d'Ivoire", a également estimé le ministre sénégalais des Affaires étrangères, Madické Niang. Même son de cloche pour le président gabonais Ali Bongo Ondimba, "c'est une opération qui a été acceptée par la communauté internationale puisque ce sont les Nations unies qui mènent la chose". A-t-il plaidé.
C’est que, même s’il semble perdu d’avance, le combat que mène Gbagbo s’apparente à celui que David mena contre Goliath. Et dans ce genre de situation, le peuple profond prend toujours faits et cause pour David
Jeudi, 07 Avril 2011 17:39
Le délégué du gouvernement vient de signer un communiqué interdisant les réservations de sépultures et autres caveaux au Bois des Singes.
Le cimetière communal du « Bois Des Singes » situé au quartier Dindè à Douala pose un véritable problème d’espace actuellement. Les populations qui y enterrent leurs proches se permettent certaines libertés. Elles ne se contentent pas de la superficie prévue pour la sépulture d’un seul corps, elles en profitent pour s’approprier plus d’espace qu’il n’en faut. Soit pour la construction d’un caveau familial, soit pour réserver de la place aux différents membres de leur famille. Pour couronner le tout, la plupart érigent même des clôtures autour des tombes. Et à l’intérieur de ces barrières, l’espace séparant les tombeaux est souvent assez important. Le phénomène est vécu dans presque tous les cimetières de Douala. Conclusion : ils sont de plus en plus saturés. Celui des Bois des Singes reste à peu près le seul dans la ville à posséder encore un peu d’espace.
Pour le préserver de l’envahissement anarchique et illicite, le délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Douala (CUD) a signé un communiqué le 4 avril dernier. Il informe les populations de la ville de Douala et ses environs que toute demande de caveau et de réservation de sépulture au cimetière du Bois des singes sont interdites. Il indique par ailleurs que l’espace prévu aux fins d’inhumation correspond à un corps sous présentation d’un acte de décès. « Les populations réservent des places relativement importantes à ceux qui mourront dans 5, 10 ans, voire plus. Pourtant, il y en a qui en ont besoin aujourd’hui », explique Olivier Priso, directeur de l’urbanisme, de la construction et de l’environnement à la CUD. Toujours d’après lui, tous les ouvrages construits de manière anarchique autour des tombes seront démolis. Ceci dans le but de créer encore plus d’espace pour d’autres inhumations.
Hier matin au Bois des Singes, on constatait que des croix de saint André ont déjà été portées sur certains de ces ouvrages tombaux. L’opération va se poursuivre dans les prochains jours. Un autre aspect est évoqué, c’est celui du non respect de la norme architecturale des caveaux ou tombeaux. Résultat : Il n’existe pratiquement plus d’espace pour circuler à l’intérieur du cimetière. Ce désordre contribue à la réduction de l’espace. Le directeur de l’urbanisme souligne que Douala aurait pu posséder un peu plus de cimetières si les aménageurs publics ou privés n’avaient pas entrepris de vendre des sites réservés à leur aménagement.
Jeudi, 07 Avril 2011 17:38
La délégation régionale des Transports du Littoral a présenté aux acteurs le programme spécial d'appui à la formation des conducteurs de motos-taxis.
Le corps d'Estelle, étudiante à l'université de Douala porte encore les stigmates de son récent accident. La jeune fille se déplace pour l'heure à l'aide d'une béquille et porte un gros bandage sur son mollet droit. « J'ai été victime d'un accident de moto il y a quelques jours. Le conducteur en pleine vitesse a voulu doubler un véhicule par la droite. Malheureusement, le chauffeur a tourné à ce moment à droite pour prendre un virage et a déséquilibré la moto. En tombant, celle-ci s'est étalée sur ma jambe et le tuyau d'échappement m'a brûlé le mollet. Vérification faite plus tard, le gars de la moto n'avait pas de permis », explique la jeune fille. Des cas comme celui-ci sont légion à Douala, où les accidents dus à la maladresse des conducteurs de motos-taxis alimentent régulièrement les rubriques de faits divers, parfois tragiques.
Fort de ce constat, le ministère des Transports a initié un programme spécial d'appui à la formation des conducteurs de motos-taxis qui couvrent entre autres, la ville de Douala. Ceci, dans le but de réduire le nombre et la gravité des accidents de la circulation routière dus aux motos-taxis, qui deviennent un phénomène préoccupant au Cameroun. « N'importe qui arrive dans cette profession et dans beaucoup de cas sans permis de conduire », confie Maïdoki Hamidou, délégué régional des Transports du Littoral. Aussi, l'objectif de ce programme est notamment de permettre aux conducteurs des motos-taxis qui pour l'essentiel n'ont pas reçu une formation adéquate en conduite, d'acquérir un minimum de connaissance en matière de règles de circulation routière, et d'obtenir des permis de conduire pour permettre une couverture de leur activité et des nombreuses victimes d'accidents qui en résultent.
Ce programme qui durera trois mois (d'avril à juin 2011) prévoit entre autres, des formations accélérées dans des auto-écoles sélectionnées à cet effet, l'organisation de sessions spéciales d'examen du permis de conduire et l'établissement des permis de conduire en procédure d'urgence pour les candidats admis. La concertation d'hier avec notamment les syndicats de motos-taxis et les auto-écoles avait pour but de permettre au maximum de motos-taxis de la ville d'en profiter.
Jeudi, 07 Avril 2011 17:36
Un symposium organisé mercredi dernier dans ses locaux vise à former étudiants et médecins résidents sur la question.
« Celui qui ne dort pas bien ne peut pas bien travailler. Et ce déficit de travail est un vrai manque à gagner pour le pays. Un frein pour le développement. Les maladies du cerveau causées en grande partie par une méningite ou un paludisme non ou mal soignés, doivent être connues et surtout évitées en dormant sous une moustiquaire imprégnée ou en vivant dans un environnement propre pour ce qui est du paludisme ». Ces explications du Pr. Alfred K. Njamnshi, Vice doyen de la faculté de Médecine et des Sciences biomédicales de l’université de Yaoundé I, justifient à suffisance la tenue dans les locaux de cette faculté mercredi dernier, d’un symposium sur le thème : « Le sommeil et les infections ».
Ouvert par le doyen de cette faculté, le Pr Tetanye Ekoe, cette rencontre vise à « former nos étudiants en médecine, nos résidents et d’autres part à, informer et sensibiliser le public sur les maladies du cerveau », explique le Vice doyen. Il ajoute qu’en dehors du fait que la tenue de ce type de rencontre soit une tradition dans cette faculté, ce symposium lui, « est le fruit de la coopération internationale avec nos collègues de la Suède et de l’Italie avec lesquels nous collaborons sur la recherche sur les maladies du cerveau ».
C’est sans doute pour cette raison qu’étaient présents à ces assises, les professeurs Krister Kristensen, le Dr. Daniel Amin venus de la Suède. Et Marina Bentivoglio et Paul Seke d’Italie. Durant une demie journée ces enseignants ont parlé de l’invasion du système nerveux par les pathogènes et de l’interaction sommeil et système immunitaire. Les investigations neurophysiologiques étaient également au menu. C’est dans cette optique qu’en ouvrant ce symposium, le doyen de cette faculté, le Pr Tetanye Ekoe, a demandé aux étudiants de profiter de la présence de ces hommes de sciences pour accroître leurs connaissances sur le sommeil et les infections et participer ainsi à la lutte contre les maladies du cerveau Cameroun en y menant des recherches à l’avenir.
Jeudi, 07 Avril 2011 17:36
Un symposium organisé mercredi dernier dans ses locaux vise à former étudiants et médecins résidents sur la question.
« Celui qui ne dort pas bien ne peut pas bien travailler. Et ce déficit de travail est un vrai manque à gagner pour le pays. Un frein pour le développement. Les maladies du cerveau causées en grande partie par une méningite ou un paludisme non ou mal soignés, doivent être connues et surtout évitées en dormant sous une moustiquaire imprégnée ou en vivant dans un environnement propre pour ce qui est du paludisme ». Ces explications du Pr. Alfred K. Njamnshi, Vice doyen de la faculté de Médecine et des Sciences biomédicales de l’université de Yaoundé I, justifient à suffisance la tenue dans les locaux de cette faculté mercredi dernier, d’un symposium sur le thème : « Le sommeil et les infections ».
Ouvert par le doyen de cette faculté, le Pr Tetanye Ekoe, cette rencontre vise à « former nos étudiants en médecine, nos résidents et d’autres part à, informer et sensibiliser le public sur les maladies du cerveau », explique le Vice doyen. Il ajoute qu’en dehors du fait que la tenue de ce type de rencontre soit une tradition dans cette faculté, ce symposium lui, « est le fruit de la coopération internationale avec nos collègues de la Suède et de l’Italie avec lesquels nous collaborons sur la recherche sur les maladies du cerveau ».
C’est sans doute pour cette raison qu’étaient présents à ces assises, les professeurs Krister Kristensen, le Dr. Daniel Amin venus de la Suède. Et Marina Bentivoglio et Paul Seke d’Italie. Durant une demie journée ces enseignants ont parlé de l’invasion du système nerveux par les pathogènes et de l’interaction sommeil et système immunitaire. Les investigations neurophysiologiques étaient également au menu. C’est dans cette optique qu’en ouvrant ce symposium, le doyen de cette faculté, le Pr Tetanye Ekoe, a demandé aux étudiants de profiter de la présence de ces hommes de sciences pour accroître leurs connaissances sur le sommeil et les infections et participer ainsi à la lutte contre les maladies du cerveau Cameroun en y menant des recherches à l’avenir.
Mercredi, 06 Avril 2011 14:21
Members of Parliament (MPs) will today, on day two of their extra-ordinary session, deliberate on government’s bill No. 886/PJL/AN governing the electricity sector in the country. The 104-section bill is part of two others presented to MPs at the opener of the first extra-ordinary session of the 8th legislative period at the Hemicycle yesterday April 6.
The bill is meant to right the wrongs of Law No. 98/22/ of December 24, 1998 which falls below standards on encouraging or attracting concrete investment opportunities. It also seeks to meet up with some requirements relating to the scale of industrial projects and their strategic importance to the national economy.
The novelty in the bill, also intended to foster the development of real heavy industry in the sector, is the recognition of the place of renewable energies in the electricity sector. It contains arrangements for connection to power distribution grids and incentives to promote the products, goods and services intended for use in the alternative energy source. It also provides incentives for investors in major industrial projects to offset the financial risk borne and the estimated growth to the national economy as well as provides a status for operators who produce electricity, use it mainly for industrial purposes and makes available to public authorities unutilised surpluses. More so, the bill introduces the possibility of exporting the surplus electric power to countries of the sub-region and reinforces the industrial framework in the electricity sector by specifying the roles of each stakeholder.
The 12-part 104-section bill spells out, besides the general provisions, electricity power utility and safety measures, legal framework for electricity sector activities, common provisions on concessions, special provisions on water storage concessions for electricity generation and rural electrification, renewable energy and energy control. There are also pricing rules, dispute settlement mechanisms, right of way and passage, electricity sector development fund, offences and administrative sanctions as well as transitional provisions.
The Minister of Water and Energy Resources will this Thursday defend the bill before the Production Committee of the National Assembly.
Mardi, 05 Avril 2011 23:34
Au menu des travaux dès ce matin, des projets de loi sur Elecam,l’élection présidentielle et le secteur de l’électricité.
Mardi, 05 Avril 2011 23:31
Minister Louis Bapès Bapès yesterday in Limbe opened a three-day conference to review curricula of General Certificate of Education examinations.Mardi, 05 Avril 2011 23:27
On commence à voir plus clair sur le bitumage de la route Sangmélima-Frontière du Congo. L’entreprise hollandaise MNO Vervat vient d’être désignée par Bernard Messengue Avom, ministre des Travaux publics et maître d’ouvrage, pour l’aménagement et le bitumage de l’axe Djoum-Mintom situé dans le lot n°2.Mardi, 05 Avril 2011 23:22
La convention signée entre Camwater et CGC Overseas Construction s’insère dans un vaste programme gouvernemental qui desservira environ 70 localités.Mardi, 05 Avril 2011 23:18
Some provinces are yet to designate their delegates to the convention.Mardi, 05 Avril 2011 17:12
Ils ont été éliminés pour des raisons diverses et les régions de l’Est, du Sud-Ouest et du Nord-Ouest sont les plus concernées.
Mardi, 05 Avril 2011 17:05
Les militants de section RDPC des Etats-Unis ont manifesté le vendredi, 18 mars dernier, en faveur de la paix et de la solidarité.Mardi, 05 Avril 2011 09:40
C’est la substance du communiqué de presse publié ce 31 mars, à l’issue de la visite d’une délégation du Fonds monétaire international dans le pays.Page 702 sur 751
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