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Dossier de la Rédaction

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Crash aérien : Les restes de l’avion congolais localisés

L’aéronef a crashé. L’accident a eu lieu sur le territoire congolais, à 10 km de la frontière du Cameroun. On ne sait pas encore s’il y a eu un survivant. Mais ce qui est sûr, c’est que l’aéronef congolais, qui est parti de l’aéroport de Yaoundé-Nsimalen samedi dernier et a disparu du ciel à 20 minutes de son atterrissage, a crashé. Le ministre de la Communication, Issa Tchiroma Bakary, a confirmé cette hypothèse hier au cours d’un point de presse donné sur le sujet. « Entre huit et dix corps ont été retrouvés sur les onze passagers à bord », a-t-il dit, sans éloigner l’espoir (certes très maigre, mais pas impossible) de retrouver au moins un survivant. L’appareil est tombé sur le territoire congolais, à 10 km de la frontière du Cameroun.

Les corps récupérés sont placés en lieu approprié pour les besoins de conservation et d’identification. Aucune précision sur le lieu où ils ont été acheminés. Au stade actuel, le ministre a avoué qu’on ne peut pas non plus savoir la cause exacte de la tragédie. L’examen de la boîte noire, encore recherchée, pourra apporter des précisions plus tard.

Le lieu de l’accident, selon des informations fournies, a été repéré hier après 12h. C’est le résultat a souligné le Mincom, d’une conjugaison d’efforts et de moyens adéquats provenant du Cameroun et de plusieurs pays amis. Dès l’annonce de la disparition de l’avion, le Cameroun a déployé des moyens militaires et civils importants parmi lesquels trois avions, dans un premier temps. Deux autres ont été aussi mobilisés hier. A cela, se sont ajoutés un aéronef mis à disposition par la République du Congo et un hélicoptère envoyé par le Gabon. La France a aussi contribué à la recherche par l’octroi des équipements appropriés pour localiser le lieu de l’accident.

Des journalistes australiens, dépêchés de Sidney étaient présents au point de presse d’hier. Le ministre Issa Tchiroma Bakary a souhaité qu’ils soient les témoins de la peine ressentie par le Cameroun qui perd des partenaires engagés au côté du pays pour le sortir du sous-développement. « La meilleure façon d’honorer les défunts », pense-t-il, c’est de poursuivre le projet qu’ils soutenaient au Cameroun : l’exploitation du fer de Mbalam. C’est la lueur d’espoir exprimée. Faut-il, le rappeler, Sundance Resources Ldt avait déjà financé la phase d’exploration du site minier. La phase d’exploitation était envisagée pour l’an prochain. Elle devrait avoir lieu. Un engagement que Cam Iron tient plus que jamais à réaliser. Pour que vive la mémoire de ces investisseurs australiens qui ont cru au Cameroun.

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