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Dossier de la Rédaction

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Suisse: Echos du 13e Sommet de la Francophonie

Le sommet populaire qui se déroule à Montreux, une commune Suisse, s’ouvre avec 71 chefs d’Etats et près de 600 journalistes attendus.

A l’épreuve du froid

Dans la notice d’informations distribuée aux médias invités à couvrir le sommet de la Francophonie, il était précisé que le climat à Montreux est assez tempéré. Ceux qui ont fait des recherches plus poussées sur le net ont même appris qu’il fait plutôt doux en cette période d’automne. Un temps doux qui aurait fait la réputation de la commune montreusienne. Quelle n’est donc pas la surprise des journalistes de découvrir que ce climat tempéré correspond en fait à des températures variant entre 6 et 12 degrés, souvent agrémentées de pluies glaciales. Même si certains journalistes déjà présents au précédent sommet à Quebec affirment que là-bas, c’était encore pire. Tous les moyens sont donc bons pour se réchauffer comme on peut, entre l’accumulation des vêtements, la consommation de soupes chaudes à tout vent ou la recherche de la présence de jolies blondes dans le village du festival.

Athlètes accomplis

Depuis leur arrivée en Suisse, les journalistes ont eu le temps, en trois jours, de se transformer en athlètes accomplis. Logés à Lausanne, ils doivent en effet faire le trajet aller-retour pour Montreux par train tous les jours. Pour cela, ils doivent d’abord atteindre la gare, à pied, située à moins d’un kilomètre de leur hôtel. Entre le temps qu’il faut pour décrypter les horaires, retrouver le quai d’embarquement indiqué, certains se retrouvent souvent à courir à en perdre l’haleine pour ne pas rater le train qui ne s’arrête pas plus de cinq minutes. Certains ne se rendent même pas compte, tellement ils sont fatigués par ces sprints improvisés, quand ils sont arrivés à destination et se retrouvent ainsi bien loin de Montreux. A l’intérieur de la ville, il faut également faire tous les trajets à pied sur plusieurs centaines de mètres pour rejoindre le village du sommet ou le centre de presse. Le pire est qu’il faut refaire le même trajet tous les soirs pour rejoindre Lausanne où les journalistes n’ont plus la force que de se jeter sur leur lit. En attendant de reprendre le même rituel aussitôt la nuit achevée.

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