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| Christmas Church Service : Christians Told to Have Quite Time With God |
| Mgr Victor Tonye Bakot appelle au respect de la vie |
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The birth of Christ the Saviour of mankind was celebrated last Saturday December 25. The day was marked by prayers and church services throughout the country. The day was marked by prayers and church services in all churches. At the Presbyterian Church in Cameroon (PCC) Bastos Congregation in Yaounde, the presiding pastor Rev. Professor Emmanuel Anya Anyambod expressed the need for Christians to learn to have quiet time in their lives so that they can hear the voice of God in a soft voice.
The parish pastor of PCC Bastos, Rev Henri B.F. Fomuso said the message to the Christians during this season is to make them understand that the church is not celebrating just the birth of a child into the world, but rather the coming of Jesus Christ sent by his father to take on him the sins of the world and to be a solution to the problems and difficulties of mankind. “We are making them know that this is a time when we have to celebrate and thank God for the wonderful things He has continued to do for us despite our sinful nature. Christ came to stabilise our own lives we should continue to make it stable,” he said. The impact of the feast of Christmas according to him is to remind Christians of the fact that God continues to think about them and has promised and continue to make good plans for them.
Mgr Victor Tonye Bakot appelle au respect de la vie
Contraception, avortement, suicide, viol et autres types d’atteintes ont ainsi été condamnés samedi, au cours de la messe de Noël à la cathédrale de Yaoundé.
« Que la naissance de Jésus Christ soit une occasion pour penser à tous ces enfants que l’irresponsabilité et la méchanceté empêchent de voir le jour ! Aussi, prions pour les femmes dont la maternité n’est pas une bénédiction, à cause du viol ou de l’abandon. » L’archevêque de Yaoundé n’avait pas le ton tendre, samedi dernier à la cathédrale Notre-Dame-Des-Victoires, lors de la messe de la Nativité. C’était jour de fête et jour de joie, parce que le sauveur du monde est né. Le fils de Dieu s’est fait homme pour le salut de l’humanité. Pourtant, le long de son homélie, Mgr Victor Tonye Bakot a eu la dent dure contre la société qui, selon lui, « n’a plus aucun respect pour la vie humaine ». Il rappelle ainsi qu’au début du temps de l’Avent, « le pape Benoît XVI a invité tous les chrétiens du monde à prier pour la vie naissante. Parce qu’il sait combien cette vie est menacée et détruite. Et nous savons aussi qu’aujourd’hui, il y a beaucoup d’avortements, l’euthanasie est très pratiquée, le suicide aussi. » L’archevêque affirme alors que « l’église s’insurge contre tous ces crimes et appelle au respect du plus grand don de Dieu, qui est la vie ».
« Comprendre le sens et l’importance de la vie ». C’est en ces termes que Mgr Victor Tonye Bakot a résumé son message de la Nativité. Une homélie qui aura duré près d’une demi-heure. Dans sa plus belle parure, la cathédrale de Yaoundé avait fait le plein d’œuf ce samedi. A ce beau monde, l’archevêque de Yaoundé explique que « la loi divine comme la loi naturelle excluent tout droit de tuer. L’église ne reconnaît à personne le droit de disposer de la vie d’autrui. Personne, pas même le père et la mère ne doit se substituer à l’enfant, fût-il à l’état embryonnaire pour choisir en son nom la vie ou la mort. » Encore que parmi les dix commandements de Dieu il est écrit : « Tu ne tueras point! »
Pour ce Noël, Mgr Victor Tonyé Bakot a donc invité les femmes à ne plus céder à la pression, parce que « d’une façon ou d’une autre, porter la vie est une bénédiction ». Il demande aux hommes d’arrêter de rejeter la faute sur l’autre, en disant comme toujours, « c’est la femme qui m’a donné le fruit défendu, c’est elle qui m’a induit en erreur ». A toute la société, il appelle au respect de la vie naissante. « Face à l’avortement et au suicide, nous sommes tous responsables. L’heure est à l’engagement, pour que les plus faibles, comme le Christ né à Noël, soient aimés et protégés ». Un message profond, à méditer !
