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Dossier de la Rédaction

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Le colonel Etoundi Nsoé Thomas Raymond, nouveau commandant

Il revient où il a commencé, de 1985 à 1999. Promu à la tête de cette unité par décret du président de la République jeudi dernier, c’est à Douala qu’il a appris la nouvelle. Au camp de la Garde présidentielle à Obili, le colonel Thomas Raymond Etoundi Nsoé, n’est pas inconnu. Il revient où il a commencé, de 1985 à 1999. Promu à la tête de cette unité par décret du président de la République jeudi dernier, c’est à Douala qu’il a appris la nouvelle. Ouvert, détendu et très blagueur. Son attitude laisse déjà transparaître le chef qu’il sera. « C’est un monsieur très intelligent, passionné du travail et de sport », lance l’un de ses proches à un voisin venu festoyer au domicile du nouveau « Com GP » au quartier Efoulan. A 50 ans – le 1er juin prochain - Thomas Raymond Etoundi Nsoé est issu de la promotion 1982 "Rigueur et moralisation" de l’Emia. Pour lui, « on a beau rêver, si le chef de l’Etat ne vous nomme pas, vous n’accomplirez pas vos rêves. J’ai été surpris de me voir attribuer ce prestigieux poste de commandant de la Garde présidentielle ».

Vendredi 18 mars. 20 h 30 mn. Le téléphone du « Com GP » n’arrête pas de sonner. Un proche, transformé en standardiste de l’heure, prend tous les appels. La cellule de communication de l’unité est là. Elle enregistre une interview de son nouveau directeur de publication. Non seulement pour le magazine "Bottes rouges" édité par la GP, mais également pour la télévision. Le « Com GP » a déjà une idée de son action. « Ma priorité sera accordée au bien-être des hommes. Bien-être matériel, moral, intellectuel, technique et physique ». Ceux qui le connaissent disent que le colonel Etoundi Nsoé, c’est « l’instruction et le sport ». Il le justifie d’ailleurs en ces termes : « Le militaire de la GP doit être physiquement au point à tout moment, il doit être instruit sur le plan technique et tactique et motivé dans son action ». Pour lui, la réussite d’une action passe par la participation.

Le colonel Etoundi Nsoé est le quatrième commandant de la GP après les colonels Ebogo Titus, Jean Paul Mengo et Jean Mendoua. Ce fils d’Akonolinga a habitué sa famille au mouvement. Ses états de service en disent d’ailleurs long. Ses trois enfants dont une fille et son épouse l’ont toujours accompagné partout où le travail l’a conduit. S’il est passé par Obala, Nkambé, Bafoussam, Ngaoundéré et Douala, c’est à Yaoundé que le « Com GP » a passé le plus de temps, 15 ans de sa carrière.


 

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