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Dossier de la Rédaction

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Kiosque: Jeune Afrique se relooke

Le magazine panafricain adopte une nouvelle formule ce jour, afin d’adapter son contenu aux enjeux du continent.


Une maquette colorée, aérée, modernisée, en somme, redynamisée. Jeune Afrique, trois ans après avoir lancé sa dernière formule, revient dès ce lundi dans les kiosques avec un nouvel air. Attaché à sa légendaire devise : « L’Afrique change, Jeune Afrique aussi », le magazine panafricain est une fois de plus emporté par le vent de l’actualité. Ce design neuf participe donc du souci de mieux décrypter la vie politique, sociale, économique et culturelle africaine, selon le directeur de la rédaction du magazine. « L’actualité de plus en plus riche de nos zones de lecture, notamment au Maghreb et en Afrique subsaharienne a, c’est vrai, précipité cette nouvelle mutation. A l’heure des révolutions Facebook et de l’information immédiatement consommable – et jetable – nous pensons que l’opinion a de plus en plus besoin de recul, d’analyse et de sens », dit François Soudan.

Qui dit nouvelle formule, dit recherche d’un public moins élitiste, car le magazine est prêt à élargir son lectorat en Afrique et dans les différents groupes du reste du monde intéressés par les questions africaines. De nouvelles rubriques neuves s’inscrivent dans cette foulée. Une première partie informative, une deuxième géographique (Afrique subsaharienne, Maghreb et Moyen-Orient…) avec des articles de fond et des clés de compréhension, puis une fin de journal thématique, avec de la culture par exemple.

Davantage d’espace est accordé aux débats, aux prises de position de la rédaction et aux opinions d’acteurs intellectuels, pour un journal accusé parfois d’être complaisant avec certains gouvernements et intransigeant avec d’autres. Et François Soudan défend la « politique » de sa rédaction : « La nouvelle formule de JA ne changera rien à nos convictions. Quand les grands principes démocratiques et les libertés fondamentales sont en cause, nous n’avons jamais hésité à prendre parti. Il n’aura échappé à personne que nous sommes contre le maintien de Laurent Gbagbo au pouvoir et nous répétons depuis des décennies que Mouammar Kaddafi est un dirigeant fondamentalement nocif.» A chaque lecteur de se faire son opinion de la nouvelle formule.

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