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Journalists Under the Spotlight

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Journalists Under the Spotlight
Liberté de la presse: Les conditions du sursaut en débat
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A joint message from an international organisation calls on State authorities to counter impunity and to protect the safety of journalists. 

Authorities and journalists in Cameroon yesterday May 3, organised activities to commemorate the World Press Freedom Day under the theme, “21st Century Media: New Frontiers, New Barriers”. The theme seeks to affirm the fundamental principles of media freedom in the digital age, that is, the ability of citizens to voice their opinion, access and diversify independent information sources, 20 years after the original declaration was made in Windhoek, Namibia. As the world commemorated the 2011 World Press Freedom Day, the UN Secretary-General, Ban Ki-moon, Navi Pillay, the UN High Commissioner for Human Rights and Irina Bokova, UNESCO Director-General in a joint message said “violations of fundamental human rights cannot go unanswered. State authorities must do everything to counter impunity and to protect the safety of journalists. We will never forget the courage of journalists who paid with their lives for our right to know.”

The joint message further specifies that twenty years on, the media landscape has changed, but the objective of the UN remains the same: to promote freedom of expression as the foundation for human dignity and the cornerstone of democracy”. Although unprecedented opportunities for expression based on new technologies and media have come, new threats equally are arising. New measures to block, filter and censor information emerge every day. Challenges take different features, but the UN says they share the same face as violations of a fundamental human right.

Statistics indicated that over the last decade, more than 500 journalists lost their lives in the pursuit of their profession. Sixty killings were reported worldwide in 2010 alone. Every week more reports of journalists and bloggers suffer from intimidation and violence. Through the message, the UN assures of its dedication to ensuring that the Internet becomes a truly global public resource, to which all have access and where all voices are heard. This underlines the importance of quality content as well as action to defend the integrity and safety of online reporters.


 

Liberté de la presse: Les conditions du sursaut en débat

A l’occasion de la journée de la liberté de la presse, le Mincom a présidé la cérémonie de lancement des manifestations hier à Douala.

«Vous êtes désormais les gardiens de la paix, de la cohésion sociale, du vouloir vivre ensemble des Camerounais, à travers votre plume… » Tel est en résumé le message que le ministre de la Communication, Issa Tchiroma Bakary a adressé aux hommes et femmes de medias hier, au Castel Hall de Bonapriso, à l’occasion du lancement des festivités de la journée internationale de la liberté de la presse. Thème de la célébration : « Médias du 21è siècle : nouvelles frontières ». Une cérémonie tenue en présence du ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Robert Nkili, du ministre délégué à la présidence de la République, chargé des Relations avec les Assemblées, Grégoire Owona, le directeur adjoint du Cabinet civil de la Présidence, Joseph LE, et le gouverneur du Littoral, Faï Yengo Francis…

Dans son discours, Issa Tchiroma a rappelé les mutations profondes intervenues dans le secteur de la communication depuis plus de deux décennies. A ce jour, a-t-il signalé, le Cameroun compte près de 15 chaînes de télévision, plus de 600 organes de presse écrite, 500 entreprises de télédistribution, une centaine de radio, et une dizaine d’entreprises cybernétiques… Des chiffres révélateurs d’un Etat de droit, mais qui posent la question de la responsabilisation du journaliste. Aussi, précise-t-il, il ne faut pas confondre les délits de droit commun avec les délits de presse.

Le Mincom évoque aussi l’augmentation de la dotation de l’aide publique à la communication qui est passée en 2007 de 150 millions à 200 millions de F. Toutefois, cela reste toujours insuffisant pour soutenir le secteur. Aussi, promet-il que des efforts seront faits pour que les communications du gouvernement intègrent aussi les medias privés et que leur soit facilité l’accès à l’information. « La publicité génère des revenus. Nous avons demandé qu’on vous accorde 2 à 3% de ce que rapporte la publicité et c’est suffisant pour donner à la presse ce dont elle a besoin pour être une entreprise viable », confiera Issa Tchiroma au micro d’une télévision locale, lors de la visite des stands.

Son message a été entendu par les patrons de presse qui, par l’entremise de Séverin Tchounkeu, n’ont pas fait mystère de leurs difficiles conditions de vie. Pour eux, les annonces légales réservées à la presse privée, l’association des médias audiovisuels nationaux aux grandes campagnes de communication de l’Etat, l’extension de la distribution de la redevance à l’ensemble des médias, sont autant d’actions susceptibles de guérir la presse nationale de ses maux.

Eric Vincent FOMO

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