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Dossier de la Rédaction

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Les ingénieurs du génie électrique se concertent

La profession a tenu la réunion de son conseil de l’Ordre le 19 novembre dernier à Douala.

Main droite levée, sur la foi du protocole de prestation de serment, ils juraient de respecter les préceptes de la profession. Huit nouveaux membres, que l’Ordre national des ingénieurs de génie électrique (Onige), a accueillis samedi 19 novembre 2011 dans la capitale économique. Parmi eux, la jeune Annette Belnog, qui a souligné toute l’importance pour elle de faire partie de l’Ordre : « Pour exercer comme ingénieur de génie électrique, il faut être régulièrement inscrit à l’Onige. C’est une garantie de mon titre d’ingénieur au Cameroun, parce que c’est régi par une loi. C’est également un tissu de relations à se créer. Et aussi, ça permet de montrer l’implication de mon entreprise dans l’Ordre ».

La prestation de serment a eu lieu lors d’une réunion du conseil de l’Onige qui avait pour principal but de déterminer la place primordiale que doit occuper l’ingénieur de génie électrique dans « un contexte de mutation économique et de développement durable ». Et qui dit génie électrique prend en compte ses quatre disciplines : électricité, électronique, télécommunications, informatique. Pour cela, les membres du Conseil ont à cœur de vulgariser l’Onige auprès de leurs confrères, comme le souligne Paul Nji Tumasang, président de l’Ordre : « Douala c’est notre capitale économique et il y a beaucoup d’ingénieurs de génie électrique qui y exercent leur métier. Nous voulons ainsi qu’ils prennent connaissance de l’existence de l’Onige qui est institué par une loi de la république. C’est la raison principale de cette réunion. Nous avons organisé la même à Limbé et à Yaoundé ».

Pour ces assises de Douala, le Conseil a été accueilli par le coordonnateur régional, Marcus Mukete, qui a expliqué au reste de l’assemblée les différentes stratégies mises en place pour intéresser le plus grand nombre d’ingénieurs, à travers des plateformes de communication avec les différentes administrations et entreprises de la place. Des activités qui rentrent dans la démarche d’organisation de la profession chère à l’Onige, afin que les ingénieurs électriciens s’expriment d’une seule voix. Cela a d’ailleurs été le cas avec un mémorandum sur les problèmes du secteur électrique camerounais, soumis lors d’une réunion au ministre de l’Eau et de l’énergie.



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