Bannière

Newsletter


Publicité

Bannière
PUBLICITE

Dossier de la Rédaction

PUBLICITE
Bannière

100 millions de F pour le projet CHOC

«Changer d'habitude - s'opposer à la corruption» a reçu mardi le soutien des bailleurs de fonds.

2 470 259 dollars US soit environ 1,235 milliard de F en quatre ans. C’est ce que coûtera la seconde phase du projet CHOC (Changer d'habitude - s'opposer à la corruption). Après la signature le 12 janvier dernier d’un accord à l’immeuble étoile, un tour de table avec les partenaires techniques et financiers du Cameroun a eu lieu hier. Il est question pour l’Allemagne, les Etats-Unis, la France, le Canada, les Pays-Bas, la Grande Bretagne, l’Union Européenne, le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), la Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD) et l’Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE) de « préciser le montant de leurs appuis pour la seconde phase du projet CHOC », a précisé Emmanuel Nganou Djoumessi, ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire.

En réponse, près de 100 millions collectés pour la première étape qui coûte 239 millions de F et qui dure neuf mois (entre janvier et septembre 2012). L’Allemagne promet 60 000 euros, environ 40 millions de F pour la première étape et la BAD s’engage à hauteur de 100 000 dollars US, soit près de 50 millions de F. Tout en choisissant l’option de pouvoir communiquer plus tard leurs offres au gouvernement, les autres partenaires n’ont pas manqué de marquer leur grand intérêt pour la poursuite de la lutte contre la corruption au Cameroun.

En rappel, CHOC est initié depuis 2007. Durant sa première phase, il y a eu entre autres résultats la définition et la mise en place des outils juridiques, stratégiques et institutionnels de lutte contre la corruption et l’adoption de la stratégie nationale de lutte contre la corruption en septembre 2010 par la Commission nationale anti-corruption (Conac). « Le financement du projet CHOC phase II veut aboutir à l’application de tous les dispositifs juridiques de lutte contre la corruption notamment l’adoption d’une loi anti corruption et le décret d’application de l’article 66 de la Constitution de 1996 qui traite de la déclaration des biens », a déclaré Mamy Raboanarijana, Coordonnateur du projet CHOC.

Commentaires (0)
Seul les utilisateurs enregistrés peuvent écrire un commentaire!

!joomlacomment 4.0 Copyright (C) 2009 Compojoom.com . All rights reserved."



haut de page  
PUBLICITE
Bannière