En effet, Mathilde A., présentée comme l’épouse du couple, voyait d’un mauvais œil « l’amitié » qui se développait entre Esther B., son «époux », et Léonie E., une femme au foyer. Par jalousie donc, Mathilde A. va se plaindre auprès de Cyrille E., l’époux légitime de Léonie E., l’invitant à briser les liens qui se tissent entre leurs conjoints. Intrigué, Cyrille E. court à la gendarmerie porter plainte. C’est alors qu’Esther B. et Mathilde A. sont mises aux arrêts et une enquête ouverte.
Le 20 février donc, rendu devant la barre, on apprend que les deux « amants » vivent ensemble depuis près de 12 ans déjà. L’affaire a été renvoyée au 8 mars prochain, pour débats. Des sources policières rapportent cependant que cette affaire de mœurs aura permis la découverte d’un réseau d’homosexualité, qui a déjà tissé ses ramifications jusque dans la ville de Kye-Ossi, sur la zone des frontières Cameroun, Gabon et Guinée équatoriale