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Dossier de la Rédaction

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INJS annonce la couleur aux Jeux universitaires

Après trois journées, l’Institut national de la Jeunesse et des Sports occupe la tête du classement avec douze médailles.

« L’INJS n’a pas d’ambitions démesurées au cours de ces Jeux. Nous sommes là pour participer à la grande fête sportive estudiantine ». Les propos de Daniel Ngoa Nguele, directeur de l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS) ne cachent pas moins la détermination des athlètes issus de cette institution. Champion des Jeux universitaires depuis deux ans, l’INJS semble bien partie pour réaliser la passe de trois. Avec cinq médailles en or, cinq en argent et deux en bronze, l’INJS se positionne déjà comme le favori numéro un. « Nous allons gagner ces jeux parce que nous ne sommes pas venus nous amuser seulement à Buea », prévient Fanny Ekanga Appes, déjà deux médailles d’or au 100 et 200 m dames. L’athlète semble insatiable. « Mon objectif est de remporter quatre médailles en or », confie t-elle avec un sourire en coin. Il y a un an à Dschang, elle avait remporté quatre médailles en or au 100, 200, 4X100 et 4X400 m. Une performance à la porté de l’athlète à Buea.

De fait, certains champions universitaires d’il y a deux ans sont absents à Buea à cause du règlement des jeux qui interdisent la « transhumance », selon l’expression utilisée par les responsables de la Fédération nationale des sports universitaires (Fenasu). Une disposition qui fait couler beaucoup de salive à Buea. Elle prévoit qu’un athlète issu d’une autre institution universitaire ne peut pas, avant un an défendre les couleurs de son institution d’accueil. Ainsi, Jean Tassisius Batabock, champion universitaire au 100 m à Dschang avec l’Université de Yaoundé I, n’a pu être aligné par l’INJS qui l’a accueilli entre temps. Idem pour Edimo, champion universitaire au 200 m l’année dernière avec l’Université de Ngaoundéré, mais a rejoint l’INJS entre temps. « Cette règle a quelque peu tué l’engouement des athlètes », regrette Charles Kouoh, secrétaire général de la Fédération camerounaise d’athlétisme. « Le niveau est quelque peu bas, à cause de l’absence des ténors », souligne Charles Kouoh.

 


 

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