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Dossier de la Rédaction

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Abok i Ngoma, fin de la danse

Le festival s’est achevé dimanche après une semaine de spectacles et d’activités.

Les bonnes choses ont toujours une fin, a-t-on coutume de dire. Et c’est déjà le cas pour le festival international de danse et de percussions « Abok i Ngoma ». La troupe américaine Soul Step a assuré le show hier à Yaoundé avec son spectacle « Closer than skin » pour la clôture de l’évènement culturel débuté le 16 juillet dernier. Un évènement qui aura vu la participation de plusieurs grands noms. Qu’il s’agisse des Burkinabés Amadou Kiénou, Sayouba Sigue, Serge Aimé Coulibalyou de la Sénégalo-Française Germaine Acogny. L’Allemande Rikki Von Falken s’est également illustrée avec son spectacle « The geometry of separation ». Il y a également eu les prestations des compagnies comme Nyata Nyata (Canada), Studio Maho (Congo), Rary (Madagascar) en plus de celles de la vingtaine de groupes camerounais.

Mais la 6e édition d’Abok i Ngoma c’était aussi une délocalisation au Centre Cardinal Paul Emile Leger d’Etoug-Ebé, à la prison centrale de Yaoundé, et même hors de la capitale, puisque le festival s’est déporté à Ebolowa et Akom II. Des spectacles de hip hop ont également marqué la semaine puisque des artistes de la scène camerounaise comme le groupe Sumanja, Lady B ou encore Prosby ont été invités à se produire. La danse et les percussions ont fait leur nid au Cameroun, comme l’a constaté Elise Mballa Meka, promotrice du festival, et l’affluence lors des spectacles en est la preuve Vivement la 7e édition en 2014.

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