Bannière

Newsletter


Publicité

Bannière
PUBLICITE

Dossier de la Rédaction

PUBLICITE
Bannière

Sécurité alimentaire par le poisson

La Commission du Bassin du Congo-Oubangui-Sangha planche sur la question depuis lundi à Douala.

Les ressources halieutiques dans les cours d’eau du Bassin du Congo sont de nature à conforter la sécurité alimentaire des populations de la sous-région, sous certaines conditions. Mais ce trésor est plutôt pillé, victime de pratiques illicites mettant en danger les stocks de poisson d’eau douce ainsi que l’écosystème. Constat rappelé hier à Douala, à l’ouverture d’un atelier de la Commission du Bassin du Congo-Oubangui-Sangha (Cicos) devant valider un projet censé changer la donne. Projet visant la gestion durable des pêches et la sécurité alimentaire dans le bassin du fleuve Congo, et élaboré avec l’appui technique de la Fao (Fonds des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture).

Les représentants des Etats membres de la Cicos (Cameroun, Rca, Congo, RD Congo) devront, pendant les deux jours des travaux, s’entendre sur les composantes du projet, ses objectifs, bref, aboutir à un consensus quant à sa forme finale. Aspects importants, le cadre de sa mise en œuvre, et les mécanismes de financement par les Etats membres.

Représentant le Minepia à l’ouverture des travaux, le Sg de la région du Littoral, Maurice Tchoffo Sa’a, a relevé l’absence de politique et de stratégie concertées à ce jour sur la question, et souhaité que l’accent soit mis sur une plus grande disponibilité des ressources de pêche par la réduction des pertes post-capture. « Une bonne gestion du patrimoine commun » est possible, selon Tchoffo Sa’a, « à condition de prendre des mesures courageuses. » Autre recommandation de l’orateur, que soit réduite l’incidence du vih/sida sur les communautés de pêche.


Commentaires (0)
Seul les utilisateurs enregistrés peuvent écrire un commentaire!

!joomlacomment 4.0 Copyright (C) 2009 Compojoom.com . All rights reserved."



haut de page  
PUBLICITE
Bannière