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Dossier de la Rédaction

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Le centre de santé d'Endom reçoit des dons de l'lite

L'association des épouses d’Endom a remis récemment des  médicaments, de matériels d’entretien et a  aménagé quatre latrines dont deux toilettes et deux douches au centre de santé intégré d’Edjom.

« La plus belle femme du monde ne peut donner que ce qu’elle a ». A juste titre, cet adage a été repris vendredi 31 août 2012 par Anastasie Nkili, présidente de l’Association des épouses d’Endom (Adepen). En effet, dans le cadre des activités et actions de développement pour l’arrondissement d’Endom, département du Nyong-et-Mfoumou, l’Adepen organisait ce jour-là une cérémonie de remise de dons au centre de santé intégré d’Edjom. Des présents constitués de médicaments, de matériels d’entretien et surtout, de quatre latrines dont deux toilettes et deux douches.

Au cours de cette cérémonie, particulièrement courue, avec en premier rang, Robert Nkili, ministre des Transports, invité d’honneur et principal sponsor de l’Adepen, les populations ont également bénéficié de tests gratuits de vih/side et de l’hyper-tension.

Félicitant « leur manière de participer au développement », Didier Ondoua Ondoua, maire de la commune d’Edjom, a souligner que « les épouses montrent là l’exemple à suivre par les hommes et les jeunes». D’ailleurs, Marcel Ebale, chef de village renchérit, invitant le ministre Nkili, en sa qualité d’élite et d’aîné, à réunir les hommes d’Endom autour d’une association, pour qu’eux aussi, travaillent « main dans la main », selon la devise de l’association de leurs épouses.

Fondée en 2005, l’Adepen vise à promouvoir « l’entente, l’amitié, la fraternité, la solidarité et la lutte contre la pauvreté. Jusqu’ici, sa réalisation majeure est la construction du centre de développement de la femme rurale d’Endom», selon Anastasie Nkili. Justifiant le choix de construire des latrines au centre de santé intégré d’Edjom, elle explique qu’en ces temps où le choléra est devenu une endémie, les risques d’infection et de contamination étaient trop grands. Vu que les populations, notamment les malades, se soulageaient dans la nature. Aussi, souligne la présidente de l’Asepen, « la propreté est la première règle d’hygiène ».

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