Bannière

Newsletter


Publicité

Bannière
PUBLICITE

Dossier de la Rédaction

PUBLICITE
Bannière

Mobilisation à Yaoundé pour le refonte des listes électorales

Les sept antennes communales procèdent aux inscriptions depuis mardi matin.

Effervescence peu habituelle hier à la délégation régionale Elecam du Centre à quelques pas des services du gouverneur. Autour d’Emmanuel Djikdent, secrétaire général de la région, de nombreuses personnalités, élites du Mfoundi, le directeur général des Elections (Dge), Mohaman Sani Tanimou et son adjoint. Un point commun à toutes ces personnalités, elles viennent assister au lancement officiel des opérations de refonte biométrique. Si l’horloge affiche 11 heures, Brigitte Ntsama Amougou, déléguée régionale Elecam pour le Centre, indique que les inscriptions sont ouvertes depuis 7h 30mn. Dans la salle, huit machines sont installées. Soit deux correspondant à l’arrondissement de Yaoundé 1er, siège de la délégation, et une pour chacune des six autres arrondissements du chef-lieu de la capitale. Celles des personnalités qui le souhaitent, à l’instar de Gilbert Tsimi Evouna, délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Yaoundé, qui habite l’arrondissement de Yaoundé VII, peuvent s’inscrire ici. Le représentant du gouverneur lui-même ne déroge pas à la règle. Des dispositions qui n’auront cours que pour cette journée de lancement, en attendant sans doute d’autres aménagements.

Au niveau de l’engouement, Brigitte Ntsama Amougou ne cache pas sa satisfaction. « Au dernier pointage vers 10h, la plupart des machines déployées dans les antennes communales affichaient environ 50 inscrits chacune. » C’est l’objectif fixé par jour à chaque kit électoral par la direction générale des Elections. La même satisfaction est partagée par Aboubakar Garba, chef d’antenne de Yaoundé VI : « En ce moment, (13h NDLR), nous sommes à près de 200 personnes inscrites pour les quatre machines déployées ici. » S’il indique n’éprouver aucune difficulté particulière, son collègue Désiré Mvondo de Yaoundé III, qui enregistre sensiblement les mêmes chiffres, relève la difficulté pour ceux qui présentent un récépissé de la carte nationale d’identité : « ils doivent pouvoir fournir des éléments de leur filiation. » Pour cela, ces électeurs, comme l’indiquait Mohaman Sani Tanimou dans une interview à CT lundi dernier, doivent se munir d’une copie de l’acte de naissance.

Commentaires (0)
Seul les utilisateurs enregistrés peuvent écrire un commentaire!

!joomlacomment 4.0 Copyright (C) 2009 Compojoom.com . All rights reserved."



haut de page  
PUBLICITE
Bannière