Bannière

Newsletter


Publicité

Bannière
PUBLICITE

Dossier de la Rédaction

PUBLICITE
Bannière

Climat : prévisions contre catastrophe

L’importance de la météo rappelée lors d’un atelier de deux jours ouvert jeudi à Douala. « Prévisions climatiques saisonnières : services climatiques pour la gestion des risques et l’adaptation aux changements climatiques pour un développement durable ». Voilà le thème d’un atelier de deux jours ouvert jeudi à Douala, avec pour objectif de discuter des services climatiques adaptés aux besoins des usagers, produire des prévisions climatiques saisonnières valables d’octobre à décembre 2012… Les travaux tenus dans le cadre du Presac (Prévisions climatiques saisonnières en Afrique centrale) visent en outre question à former des experts de différents pays de la sous-région à la production des prévisions saisonnières, faire une évaluation des impacts et conséquences des prévisions saisonnières afin de déterminer l’impact sur les activités socioéconomiques, mettre sur pied des stratégies pratiques et des actions, pour une meilleure gestion des catastrophes.

Enfin, faciliter la communication des prévisions et des informations climatiques pour une utilisation plus rationnelle des données. Le directeur de la Météorologie nationale, André Nguilambouhe, est revenu sur un extrait du discours du chef de l’Etat lors de sa récente visite dans le Septentrion : « Il conviendrait de renforcer à tous les niveaux et de manière régulière, l’information météorologique afin de permettre aux populations de disposer de renseignements utiles sur les variations climatiques. »

Le directeur de la Protection civile, lui, s’est félicité de la présence d’une plateforme nationale de réduction des risques de catastrophes (Rrc). Jean-Pierre Nana, également président du comité de suivi de la Stratégie de prévention et de gestion des catastrophes de la Ceeac, et point focal Afrique centrale de l’United Nations International Strategy for Disaster Reduction, a en outre rappelé que la prévention coûte dix fois moins cher que la gestion d’une catastrophe. André Kamga, du Centre africain pour les applications de la météorologie au développement, a noté des insuffisances sur le plan local. Pour lui, il est nécessaire de posséder des informations historiques des 30 dernières années sur les précipitations, ce qui permet de prévoir efficacement.

 

 

Commentaires (0)
Seul les utilisateurs enregistrés peuvent écrire un commentaire!

!joomlacomment 4.0 Copyright (C) 2009 Compojoom.com . All rights reserved."



haut de page  
PUBLICITE
Bannière