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Dossier de la Rédaction

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Rentrée à multiples vitesses dans les Universités

Officiellement, les cours ont débuté lundi même si certains établissements avaient commencé avant.

Ça y est. Les « blue jeans » reprennent droit de cité sur différents campus de l’université de Douala au carrefour « Ange Raphaël » et à Ndogbong. Les motos-taximen sont aussi en place. Ici, on embarque au moins deux passagers pour les déposer soit au campus II à Ndogbong soit au campus principal basé dans l’enceinte de l’Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (Essec). De part et d’autre, les photocopieurs tournent à plein régime. « Saisie, saisie monsieur ? ». C’est ainsi que de jeunes filles hèlent de potentiels clients. Les restaurants de fortune, ventes à emporter et snacks accueillent aussi leurs nouveaux clients en attente d’un cours ou question de faire davantage connaissance entre camarades après les vacances…

Dans les amphis, c’est une rentrée à plusieurs vitesses que CT constate. A l’Ecole normale supérieure de l’enseignement technique (Enset), « les anciens élèves ont commencé le 17 septembre. Nous attendons les résultats du concours d’entrée qui a eu lieu il y a une dizaine de jours », relève Claude Bekolo, directeur de l’Enset. Même chose à l’Institut universitaire de Douala, où les cours ont débuté il y a une semaine.

Pr. Ayina Ohandja, directeur de l’Iut, annonce pour ce jour le début des cours des étudiants de la formation initiale II. Seule grande école à avoir commencé officiellement lundi, l’Institut des beaux-arts de Nkongsamba. « Les 245 apprenants ont eu droit à une prise de contact avec le corps enseignant. Et les nouveaux pensionnaires des filières d’architecture et des beaux-arts ont ensuite été répartis dans chaque salle de cours », indique Annette Angoua, directeur de l’Iba.

Côté facultés, c’est dans l’après-midi de lundi que les « bleus » en sciences économiques et gestion appliquée ont commencé. « La Fsega partage un amphithéâtre commun avec la Faculté des sciences juridiques et politiques. Ainsi, les futurs hommes de droit commencent en matinée et laissent l’après-midi aux autres », souligne Mme Um, doyen de la Fsega. A partir de son bureau, elle se rassure au téléphone que les cours se déroulent dans les autres salles de cours. Pr. Efoua Mbozo’o, doyen de la Faculté des lettres et sciences humaines, a effectué deux descentes sur le terrain, question de se faire une idée de l’ambiance dans les salles de cours. Avec 2700 étudiants préinscrits et 114 enseignants permanents, « la Flsh entame sous de meilleurs auspices la présente année académique », lance-t-il.



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