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Dossier de la Rédaction

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Les recteurs des universités catholiques en conclave

Ils étaient réunis vendredi dernier à Yaoundé pour parler de l’évolution des enseignements.


Répartition des filières et des étudiants dans les établissements, statut de l’enseignant du supérieur catholique et gestions des ressources. Ces sujets étaient à l’ordre du jour d’une rencontre des recteurs des institutions universitaires catholiques, vendredi dernier au siège de la Conférence épiscopale à Yaoundé. Ils ont discuté du statut du supérieur catholique au Cameroun et parlé de l’évolution des enseignements, mais aussi des problèmes qui touchent leur secteur. Le supérieur catholique au Cameroun est composé d’institutions universitaires basées dans les villes de Bamenda, Bertoua, Buea, Douala et Ebolowa.

La plus ancienne, reste l’Université catholique d’Afrique centrale de Yaoundé. Elle regroupe à elle seule 4 000 étudiants, sur les 10 000 inscrits dans toutes les institutions du supérieur catholique. L’une des principales difficultés sur laquelle les recteurs se sont attardés relève de la popularité de certaines institutions au dépend des autres. Le diocèse d’Ebolowa par exemple, est concerné par ce phénomène. D’après l’Abbé Jean Zambe, recteur de l’institut catholique Bonneau à Ebolowa, les étudiants originaires du chef-lieu de la région du Sud boudent l’université locale. Comme il l’a expliqué, « la jeunesse du Sud est plutôt tentée par les grandes villes comme Yaoundé et Douala. Or, Bonneau supérieur a été un projet pensé en fonction des réalités du Cameroun en général, mais du Sud en particulier. » Attirer plus d’étudiants à s’inscrire dans leurs localités, reste un défi pour les recteurs.

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