Nommé jeudi dernier, Evele Malik Atour, directeur des Normes et du Suivi des organisations sportives (DNSOS) au ministère des Sports et de l’Education physique a trouvé un dossier chaud sur sa table. Celui du renouvellement des bureaux directeurs des fédérations sportives civiles nationales. Le processus électoral est lancé depuis janvier dernier. Il connaît des fortunes diverses sur le terrain. La machine est grippée dans la plupart des fédérations sportives. Notamment celles ayant une exposition médiatique forte. C’est le cas notamment du volley-ball et du basket-ball. Par ailleurs, certains présidents hésitent à convoquer les assemblées générales électives. Seules les fédérations de nanbudo, cricket, natation et karaté ont pu organiser leurs élections. Et encore ! Certains dossiers pourraient être rouverts. Nous ne sommes qu’à huit jours de la fin des opérations. Le Minsep a fixé comme date-butoir le 28 février. Cependant, dans l’échange avec le DNSOS, il apparaît clairement que le respect de la loi et des préalables est la priorité. La loi ne saurait donc être piétinée sous le prétexte du respect des délais… Evele Malik Atour explique les contours de ces opérations électorales qui divisent