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Dossier de la Rédaction

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Michèle Esso à Washington

Michèle Esso à WashingtonLa journaliste va y diriger le Centre de communication auprès de l’ambassade du Cameroun.

« Michèle Ebongue à Washington ! Elle a frappé fort », exclamation d’un promotionnaire en journalisme à l’Esstic (1996-1999) d’Esso Michèle Marie-Madeleine épouse Ebongue. C’est que l’actuelle déléguée régionale de la Communication du Littoral a été promue le 29 avril dernier, chef du Centre de communication auprès de l’ambassade du Cameroun aux Etats-Unis d’Amérique. Un décret du président de la République. Pas moins.

S’y attendait-elle ? La concernée répond par la négative. Mais son CV milite en sa faveur. Tenez, il y a juste deux ans, Michèle Esso bouclait un Master en coopération internationale, développement décentralisé et durable ; modélisation de la communication dans les accords de coopération bilatéraux et multilatéraux à l’Institut des Relations internationales du Cameroun (Iric). Moule qui forme depuis plus de quatre décennies les diplomates camerounais. Son futur milieu professionnel.

Etre VRP (Vendeur-représentant-placier), ça, Michèle Esso s’y connaît. Trois situations pour s’en convaincre. Elle a, il y a quelques années, organisé un vernissage photos exposant les grandes réalisations du Renouveau dans la région du Littoral où elle officie comme délégué régional de la Communication depuis 2007. Mais avant cela, elle a été de la gestion communicationnelle et membre du comité interministériel liés à la catastrophe aérienne de Mbanga-Pongo. Tout comme elle a habilement participé à la gestion des médias et communication lors des émeutes de février 2008 à Douala.

Washington, la diplomatie internationale, l’Amérique, c’est donc un nouvel environnement. Un nouveau challenge. Après être passée par le petit écran (Crtv-télé) dans la présentation de « Accord majuscule », la presse écrite au quotidien Mutations et par les relations publiques de la Communauté urbaine de Douala, voici une nouvelle tirade que Michèle Esso s’apprête à lancer. A moins de quarante ans et avec l’amour de ses deux fils, cette férue des Tic et passionnée d’anglais a les armes pour réussir.



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