Près de 100 femmes de la Société nationale des hydrocarbures (Snh) étaient mercredi au siège de la Société de presse et d’éditions du Cameroun (Sopecam) à Yaoundé. Elles sont venues découvrir la chaîne de fabrication des journaux et magazines de l’entreprise. Conduites par Nathalie Moudiki, présidente d’honneur du Comité d’organisation de la fête des mères de la structure, ces dames ont été accueillies à leur arrivée par les hauts cadres de l’entreprise
, avec au premier rang, le directeur général adjoint de la Sopecam, Shey Peter Mabu.Au nom du directeur général Marie-Claire Nnana et avec toute la convivialité qui lui est propre, il leur révélé la fierté, la joie et l’honneur qu’a la Sopecam d’accueillir ces distinguées invitées. « Vous êtes chez vous à la Sopecam », leur a-t-il assuré, sourire aux lèvres. Mais il a fallu attendre la fin de la présentation de la chaîne de fabrication de Cameroon Tribune et de toutes les autres productions de la société par le directeur de la rédaction, Martin Badjang ba Nken, et la visite des ateliers, pour savoir pourquoi ces dames ont fait le déplacement.
Et d’après Nathalie Moudiki, la raison est toute simple. « On a toujours lu Cameroon Tribune, Nyanga et Week-end et on s’est dit, pourquoi ne pas venir voir comment ces journaux sont fabriqués, dans le cadre des activités que nous organisons à l’occasion de la célébration de la fête des mères.» Après une descente à la Sopecam marketing and communication agency et aux ateliers, ce sont des femmes émerveillées qui en sont sorties. « Nous sommes très impressionnées par les équipements et le travail qui y est fait au quotidien par cette entreprise. Nous ne savions pas qu’en dehors de Cameroon Tribune, la Sopecam peut fabriquer des livres, des agendas et beaucoup d’autres choses. C’est pour cela que nous remercions le directeur général et le directeur général adjoint de cette grande entreprise. Eux qui nous ont permis de faire cette agréable découverte », a conclu la présidente d’honneur. C’est donc fières d’avoir acquis des connaissances différentes de leur domaine d’activités qu’elles ont quitté la Sopecam hier après-midi.
