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Des projets de la coopération allemande pour le secteur privé - « Les résultats sont encourageants »

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Des projets de la coopération allemande pour le secteur privé
« Les résultats sont encourageants »
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« Les résultats sont encourageants »

Dr. Andreas Kalk, directeur-résident, bureau régional de la GIZ  à Yaoundé.


Quelle appréciation faites-vous des résultats obtenus jusqu’ici grâce à la mise en œuvre des DPP ?

La majorité des DPP arrive à présenter des résultats satisfaisants. Il y a quand même un pourcentage de 15 à 20% des DPP où entre autres choses, la contribution financière de l’entreprise privée tombe en retard et on est actuellement obligé d’arrêter la mise en œuvre du projet. Heureusement ici au niveau du Cameroun, ça n’a pas été le cas jusqu’ici. Les résultats sont plutôt encourageants.

Combien avez-vous déjà injecté au Cameroun dans le cadre de ces DPP ?

Les contrats déjà signés couvrent à peu près une contribution financière, côté privé de 1,5 million d’euros, soit près d’un milliard de F. La contribution publique de la GIZ représente le tiers de cette somme. Dans l’ensemble, on a mobilisé à peu près 2,5 millions d’euros.

Quelle est la nature des financements que la GIZ apporte aux entreprises privées ?

On définit un projet, des objectifs, des activités à réaliser et on veille à ce que les contributions financières de l’entreprise, tout comme celles de la GIZ soient transférées dans les activités identifiées, sans que l’un ou l’autre des budgets ne se mélangent. Il n’y a ni un mouvement financier de la GIZ vers l’entreprise partenaire, ni l’inverse. Tout l’argent est effectivement et d’une manière très contrôlée, utilisé pour poursuivre les objectifs du développement.

Les Pme, pourtant majoritaires dans le secteur privé, semblent exclues…

Il ne s’agit pas du tout d’une subvention à une entreprise pour son fonctionnement. Il s’agit plutôt de la mobilisation des fonds d’une entreprise pour des biens communs. Pour que ça fasse du sens, pour que les coûts opérationnels soient plus touchables que les coûts administratifs, il faut qu’une entreprise contribue pour un minimum de 100 millions de F. A ce moment, ce n’est plus forcément intéressant pour les petites et moyennes entreprises.  


Dr. Andreas Kalk : « Il ne s’agit pas d’une subvention à entreprise pour son fonctionnement».



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