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Dossier de la Rédaction

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Programme routier intégrateur: on évalue les travaux

Le Comité national de pilotage du Programme routier intégrateur et du projet de facilitation des transports en zone Cemac (Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale) s’est réuni jeudi à Yaoundé. 

 Autour de son président, Hans Nyetam Nyetam, par ailleurs secrétaire d’Etat auprès du ministre des Travaux publics chargé des Routes, le Comité a entre autres évalué l’état de mise en œuvre du plan de travail du budget 2013, mais aussi l’état d’avancement des activités du projet Cemac (volets routier, facilitation et Camrail).

M. Nyetam Nyetam, en ouvrant les assises, s’est notamment appesanti sur les travaux d’aménagement de la route Garoua Boulaï-Ngaoundéré, où l’axe Garoua Boulaï-Nandeke est réalisé à 92%.  Toutefois, les sections Nandeke-Mbéré et Mbéré-Ngaoundéré, réalisées à plus de 90% chacune, sont à l’arrêt. « Elles sont dans l’attente de l’aboutissement de l’avenant qui prend en compte les travaux de bitumage de la voirie de Meiganga et l’expertise complémentaire sur la qualité du revêtement pour le dernier lot », a expliqué le président du Comité. Concernant d’autres projets, Hans Nyetam Nyetam a annoncé que le marché de réhabilitation de l’axe Maroua-Kousseri, notamment pour la section Mora-Dabanga, longue de 132 km, a été notifié en début de mois. Coût des travaux, 49, 366 milliards de F.

Pour ce qui est du volet facilitation,  il a été rappelé que tout doit être mis en œuvre pour assurer la fluidité du service le long des corridors Douala-N’Djamena et Douala-Bangui. « Ces tronçons doivent être exploités sans entraves, la sécurité des infrastructures et des usagers doivent être de mise pour que si jamais il y a la concurrence, que nous soyons les meilleurs », a souligné le secrétaire d’Etat. C’est pourquoi il a invité les administrations concernées à s’impliquer davantage sur cette question, surtout que la date de clôture des financements pour ces projets approche à grands pas. « Aujourd’hui plus qu’hier, des solutions objectives doivent être trouvées pour les activités qui sont sur un chemin critique afin que le Cameroun ne rembourse pas pour des fonds inutilisés », a martelé M. Nyetam Nyetam. Mais, de source projet du dossier, en fait de remboursement, les fonds non utilisés seront plutôt affectés à d’autres activités, mais le Cameroun devra rembourser l’emprunt dans sa totalité, avec les commissions y afférentes. Pour mémoire, le Programme routier intégrateur est financé par la Banque africaine de développement et la Banque mondiale.  Mais hier, il était essentiellement question des volets financés par la Banque mondiale, à hauteur de 195 milliards de F.


Les membres du Comité de pilotage doivent tout mettre en œuvre pour boucler les projets.

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