Un échange sur l’implémentation de l’économie verte en milieu scolaire tenue récemment.

Protéger l’environnement est une préoccupation mondiale. Un acte posé au Cameroun peut avoir des répercussions sur la planète. Il est temps de prendre les choses en main. C’est en ces termes que s’est exprimé Jean-Marc Ekoa Mbarga, sous- préfet de Douala 1er à l’ouverture de la conférence sur l’implantation de l’économie verte en milieu scolaire récemment dans la ville.

Directeurs d’établissement, experts, clubs scolaires dédiés à l’environnement ont répondu présents à cet appel contre la pollution et les mauvais comportements. Le coordonnateur de l’Association pour la solidarité des forestiers et environnementalistes (Asfe), Marc Richepin Mandeng, a, à l’occasion, présenté la vision de l’économie verte de son association en faveur des jeunes scolaires, le projet Récup’ d’une société brassicole de la place, entre autres choses. Autre thème abordé : « Quelles actions concrètes peuvent être attendues de la société civile pour favoriser l’économie verte dans notre pays ? ».

Les différentes interventions allaient dans le sens d’une amélioration de notre environnement et d’un meilleur traitement de notre espace de vie. Pour le coordonnateur, il est question de toucher la base, d’où la présence en nombre du personnel éducatif et des jeunes. Dès l’année prochaine, le slogan « Challenge écologique » sera le cheval de bataille de l’Asfe dans les établissements scolaires à Douala.