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Dossier de la Rédaction

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La Guinée équatoriale dit "non!"

http://cameroon-tribune.cmLe gouvernement équato-guinéen a réaffirmé samedi son refus d'appliquer l'accord de libre circulation des personnes devant entrer en vigueur en janvier 2014 ans les six Etats d'Afrique centrale. Les autorités  équato-guinéennes craignent de devoir faire face à une immigration massive vers leur pays moins  peuplé que les autres et qui, en l’espace d’une décennie, est devenu l’un des tout premiers producteurs de pétrole du continent. Après plusieurs années de difficiles négociations, la Communauté économique et monétaire d'Afrique centrale (Cemac), était tout de même parvenu à un accord sur la libre circulation de ses ressortissants au sein de l'espace communautaire, avec la suppression des visas et l'instauration d'un passeport biométrique commun, comme c’est le cas dans la zone sœur de la Cedeao.

Cet accord avait été bloqué pendant des années par le Gabon, lui aussi gros producteur de pétrole et terre d'émigration pour de nombreux ressortissants d'Afrique centrale, voire de l’Afrique de l'ouest. Devenue en quelques années le troisième producteur de pétrole d'Afrique sub-saharienne pour une population d'environ 700.000 habitants, la Guinée équatoriale attire désormais des immigrés venus des pays voisins. Elle a cru devoir  emboîter le pas au Gabon dans le rejet de la libre circulation des personnes. Quelles sont les implications de cette décision équato-guinéenne. Nous avons posé la question au Pr Laurent Zang, enseignant à l’Université de Yaoundé II, chef du département de diplomatie et des enseignements professionnels à l’Institut des Relations internationales du Cameroun (Iric).http://cameroon-tribune.cm

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