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Dossier de la Rédaction

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128 milliards de F pour le secteur rural

La deuxième phase des activités du C2D lancée par le Minader et le Minepia mercredi à Yaoundé.

La promotion d’une politique agropastorale concertée s’appuie sur les producteurs parfaitement outillés et bien formés dans tous les métiers de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche. C’est pourquoi, dans le cadre de la négociation du deuxième Contrat de désendettement et de développement (C2D), le président de la République,  Paul Biya, a instruit de mettre un accent particulier sur les activités en direction du secteur rural. Un secteur qui bénéficie cette fois de 60 % de l’enveloppe totale, soit 128 milliards de F. Il convient de relever que 52 % de cette enveloppe sont destinés au financement du Programme d’amélioration de la compétitivité des exploitations familiales agropastorales (Acefa), du Programme d’appui à la rénovation et au développement de la formation professionnelle (Afop) et du Programme d’appui à la maîtrise d’ouvrage des administrations du secteur rural (Amo). Des programmes formulés avec l’appui de l’Agence française de développement (Afd). C’est dans ce sens que la cérémonie de lancement de la deuxième phase des activités de ces programmes sous financement C2D de deuxième génération/Afd s’est tenu hier, conjointement présidée par les ministres de l’Agriculture et du Développement rural (Minader), Essimi Menye, et de l’Elevage, des Pêches et des Industries animales (Minepia), Dr Taïga. C’était en présence du représentant de l’ambassadeur de France au Cameroun, Jean Marc Allard.

Pour Essimi Menye, il est question pour cette phase de consolider les acquis de la première phase de ces programmes. C’est ainsi que l’accent sera entre autres mis sur la poursuite de la formation des jeunes aux métiers agropastoraux et halieutiques suivie de leur insertion ; le financement des projets d’investissement des organisations de producteurs en vue de moderniser l’appareil de production, mais aussi l’élaboration concertée et participative des politiques publiques harmonieuses et cohérentes de soutien à la production. Pour parvenir à un meilleur résultat, le Minader a prescrit aux coordonnateurs de ces programmes rigueur et probité dans la gestion des ressources à eux confiées et la recherche permanente de la performance. « Les interpellations en matière de respect des règles de bonne gouvernance régulièrement martelées doivent être rigoureusement respectées. Il est utile de rappeler qu’aucune tolérance ne sera admise en cas d’infortune », a conclu Essimi Menye.

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