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Dossier de la Rédaction

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Modèles: façon Beyoncé

http://cameroon-tribune.cmSeries, clips et stars étrangères influencent les modes vestimentaires chez nombre de jeunes filles.

Dans « Irrational Heart », serie brésilienne bien connue chez la gent féminine et diffusée il n’y a pas si longtemps encore sur une chaîne de télévision locale , un personnage pourtant secondaire dénommé Natalie « Amour » a su rapidement ravir tous les suffrages de popularité. Sa particularité, n’avoir presque jamais été vue de toute la série avec un vêtement lui arrivant au genou. Et du fait de ses atouts mis en valeur, d’avoir fait tourner la tête à un personnage très riche, quoique peu recommandable dans l’histoire. La « sexy » Natalie n’est évidemment pas le premier personnage cathodique a être pris par les jeunes filles pour modèle vestimentaire. En réalité, depuis l’avènement de la télévision par câble et son invasion de chaînes étrangères, un rapport étroit a toujours existé entre les tenues arborées par les vedettes (souvent occidentales) vues à la télé, et les modes vestimentaires pratiquées.

Ainsi, côté séries et feuilletons, les décolletés plongeants de Brooke Logan, héroïne de Top Models ont fait des émules. Le phénomène est encore plus accru avec les vedettes américaines de la chanson, dont les noms sont même transposés aux vêtements arborés. Les chaussures à semelles compensées ne se désignent plus aujourd’hui que comme les « Lady Gaga » (alors qu’elles existent bien avant l’explosion de la chanteuse), les mini-jupes avec fentes (oui, ça se fait aussi) popularisés par le groupe Destiny’s Child furent ainsi appelés « coupe Beyoncé », et les nuisettes transparentes « Rihanna » font aussi leur trou. Marole Tchamba ou Kareyce Fotso avec leurs tenues d’apparats à l’africaine repasseront.

Pour le psycho-sociologue Eugène Pout en service au Minjec, le phénomène est normal si on part du principe que par définition, on essaie toujours de ressembler à son idole. Seulement, il observe pour le déplorer, que le gros des fans de ces programmes télé et stars de la chanson, se recrute aujourd’hui parmi les adolescentes pré-pubères. Et il devient de plus en plus fréquent de voir des « DVD » sur des fillettes de 10 ou 12 ans.http://cameroon-tribune.cm

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