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Dossier de la Rédaction

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Ndedi Eyango et Cie en poste à la Socam

http://cameroon-tribune.cmLe premier Conseil d’administration du bureau récemment élu a eu lieu mardi à Yaoundé.

Une date, celle de mardi, à mardi son premier Conseil d’administration au siège de la structure à Yaoundé. Ceci en présence de Irène-Mélanie Gwenang, chef de la Division des affaires juridiques au Minac, représentant le ministre, et de Jean Calvin Aba’a Oyono, président de la Commission permanente de médiation et de contrôle des sociétés civiles de droits d’auteur (CPMC). Le président du Conseil d’administration, Ndedi Eyango, a d’ailleurs recommandé à tous, de le laisser lui, son équipe, et les artistes, travailler dans la sérénité.

« Nous devons nous mettre au travail et relever les défis. Il n’y a pas que le droit d’auteur qui est le véritable problème des artistes. Il y a également les spectacles qui ne marchent pas, la piraterie, les problèmes de producteurs. Nous sommes là pour réorganiser le métier de la musique qui connaît un dysfonctionnement au Cameroun », a déclaré Ndedi Eyango. Face aux médias se montrant insistants, notamment sur la question de sa double nationalité, Ndedi Eyango a dit : « Il ne faut pas distraire les artistes avec des débats qui n’ont pas d’importance. Je ne veux pas m’étaler là-dessus. » Le PCA est donc bien décidé à se mettre au travail, et cette première rencontre avec les administrateurs est l’occasion idoine de se lancer.

Comme il l’a annoncé, ils vont faire l’état des lieux de la structure. « Nous allons passer à l’audit, puis nous appesantir sur le recrutement du Directeur général. Nous allons nous arrêter sur la situation des employés. Nous allons aussi tabler sur le nettoyage du répertoire des artistes, car on doit prendre le temps de savoir qui est artiste et qui ne l’est pas », a-t-il résumé. La question des finances de la structure ne sera pas non plus éludée. Le PCA a d’ailleurs signalé que, « les droits d’auteur au Cameroun génèrent beaucoup d’argent. Il faut tout simplement que les Camerounais paient les droits d’auteur, que les sociétés coopèrent et que l’argent rentre dans les caisses. Quand on dit que la Socam est une société en faillite, je dis non ! » Ndedi Eyango et ses administrateurs souhaite atteindre leurs objectifs, et c’est pourquoi il a demandé aux artistes de rester calmes et unis.http://cameroon-tribune.cm

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