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Dossier de la Rédaction

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25 milliards pour les riverains du Lac Tchad

 Le représentant résidant de la Banque africaine de développement  invite les bénéficiaires à ne ménager aucun effort en vue de la consommation optimale de ces fonds.

Le représentant-résident de la Banque africaine de Développement (BAD) auprès de la Commission du bassin du Lac Tchad (CBLT) vient de séjourner dans la région de l’Extrême-Nord. Le Pr. Michel Cyr Djena est allé vérifier si les activités mises en œuvre, ces dernières années, par le Programme de développement durable du bassin du Lac Tchad (PRODEBALT) sont conduites selon le cahier des charges. Mais aussi, échanger avec les maillons impliqués dans l’implémentation des micro-projets sociaux financés par la BAD au profit des populations riveraines de ce bassin dont la région de l’Extrême-Nord fait partie intégrante. Et sur tous ces deux aspects, le porte-parole de la BAD a été satisfait.

Au cours de la visite de courtoisie rendue au gouverneur de l’Extrême-Nord le 8 février 2014, Augustine Awa Fonka lui a donné l’assurance que tout serait mis en œuvre pour diligenter tous les dossiers des structures qui sont liées au PRODEBALT par un accord. Michel Cyr Djena est descendu sur le terrain le 9 février, précisément dans les départements du Mayo-Danay et du Diamaré afin de voir à quoi ont servi les fonds dégagés par l’institution qu’il représente. Ici et là, il a visité des champs d’oignon, des abreuvoirs fonctionnant avec des motopompes, des puits, des sites reboisés, entre autres.

Pour cette année 2014, a dit le représentant-résident de la BAD auprès de la CBLT, une enveloppe de 25 milliards de F est dégagée au profit des Etats-membres de la Commission. Cet argent va permettre aux populations riveraines - dont celles la région de l'Extrême-Nord – d’améliorer leurs conditions de vie en développant des activités agricoles et pastorales afin de ne plus trop mettre la pression sur le Bassin du Lac Tchad. Et quand on sait que l’activité humaine a un impact important sur le dessèchement du lac, on mesure mieux la portée de ce geste pour la survie de cet écosystème. Le Pr Michel Cyr Djena a suggéré qu'aucun effort ne soit ménagé pour le traitement rapide des dossiers de décaissement de ces fonds. Dans cette délégation, on notait la présence de Tahir Brahim Adouma et de Hara Taïdi, respectivement coordonnateur régional et coordonnateur national du Programme de développement durable de bassin du Lac Tchad.

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