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Dossier de la Rédaction

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Souvenirs de la célébration du Cinquantenaire de la Réunification

Un hors série de la publication Le Temps des Réalisations revisite les temps forts de la célébration.

La Une dit tout : Cameroun un et indivisible. L’infographie fait le reste. Une vue de la tribune officielle à Bongo Square insérée sous le monument des Cinquantenaires. Vraiment beau. Et Martin Belinga Eboutou, le directeur de publication, ne dit pas autre chose dans son éditorial : « Le jour le plus beau ». Ce qu’il faut surtout retenir c’est la chute de l’édito. Pour le ministre, directeur du Cabinet civil de la présidence de la République, « Le 20 février 2014 restera dans la mémoire des Camerounais le jour le plus beau de l’unité du pays, le jour le plus beau pour la démonstration de la fraternité entre tous. Cette unité et cette fraternité sont la condition sine qua non de ce Cameroun fort et prospère que le président Paul Biya nous invite à léguer à la postérité ». Et cette postérité est plutôt bien servie par ce hors série qui a valeur de document historique.

En 132 pages, l’équipe de rédaction revient sur les temps forts de la célébration du Cinquantenaire de la Réunification à Buea. Mais on retrouve aussi des moments de la célébration du Cinquantenaire de l’Indépendance en 2010. Un hommage appuyé est rendu au chef de l’Etat, « l’homme-orchestre des Cinquantenaires. » En deux tableaux, le lecteur retrouve l’implication personnelle du président Paul Biya dans la réussite des deux célébrations. Pour le visuel, des images de la conférence internationale de Yaoundé « Africa 21 » et celle du passage du logo des Cinquantenaires à Bongo Square mettent en relief l’action du premier Camerounais. Mais à côté de cet acteur majeur, se trouve la première dame, Chantal Biya dont la « présence donne plus de colorations aux événements ». Vient enfin, l’acteur opérationnel, le Comité national d’organisation (CNO). Une fleur est faite à son président, Martin Belinga Eboutou, et au vice-président, Joseph LE. Les deux proches collaborateurs du chef de l’Etat ont veillé à ce que le CNO comble les attentes à savoir : faire des cinquantenaires des moments de joie et surtout de réflexion.

Et qui dit réflexion dit le grand colloque de Buea. Placé sous la responsabilité du ministre de l’Enseignement supérieur, le Pr. Jacques Fame Ndongo, par ailleurs, président de la commission études, conférences et débats, cette grand’messe présidée par le Premier ministre, chef du gouvernement, Philemon Yang, représentant personnel du chef de l’Etat, a permis aux Camerounais de tous bords d’apprécier la dynamique intégrative après 50 ans de Réunification. On retrouve aussi en bonne place dans cette publication la fresque historique « La Marche en avant ». L’acteur principal, Zigoto Tchaya Tchameni, à travers sa narration des faits, retrace fidèlement la chronologie de la genèse et de la marche en avant vers le progrès et le développement du Cameroun. La fresque écrite par Bidoung Mkpatt consacre surtout la dynamique de l’unité nationale.

Le Temps des Réalisations dans sa dernière livraison s’arrête aussi sur le monument des Cinquantenaires à Buea. Tout y est. Le monument dans sa majesté, sa description et la déclaration du chef de l’Etat à l’issue de son inauguration.

Viennent ensuite les images saisissantes du défilé militaire et civil à Bongo Square, les temps forts de la réception au palais présidentiel de Buea, les différentes audiences ainsi que la mobilisation des populations à l’arrivée comme au départ du couple présidentiel de Buea. Le hors-série fait aussi un clin d’œil au volet documentaire. On y découvre ainsi encarté, le discours du président de la République à Bongo Square, le décret portant commutation et remise de peines, la liste des participants à la conférence de la Réunification à Foumban (délégation de la République du Cameroun et celle du Southern Cameroon). Cerise sur le gâteau, pour la postérité, la loi N°91/022 du 16 décembre 1991 portant réhabilitation de certaines figures de l’histoire du Cameroun (Ahmadou Ahidjo, Ruben Um Nyobe,Félix Moumié Ernest Ouandie) est publiée dans ce hors-série qui conserve le caractère bilingue de la publication du Cabinet civil.


 

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