Bannière

Newsletter


Publicité

Bannière
PUBLICITE

Dossier de la Rédaction

PUBLICITE
Bannière

Aes-Sonel renforce son réseau

Un ensemble de chantiers viennent d’être lancés dans les deux villes de Douala et de Yaoundé.

Le projet est évalué à près de 2 milliards. Il s’agit entre autres de rénover des disjoncteurs vieux de près de 10 ans, d’entretien des circuits hydrauliques, de doublement de la capacité des conducteurs, de renforcement des réseaux et autres nouvelles lignes. L’objectif de ces travaux, c’est d’améliorer le service chez les clients, d’augmenter la couverture. Et par ricochet de donner aux populations l’opportunité de bien vivre la Coupe du Monde en juin prochain.

C’est en substance l’information donnée par le directeur général d’Aes-Sonel vendredi dernier aux médias qu’il a invités sur le terrain. Accompagné d’une équipe de techniciens et d’experts, Jean-David Bilé est descendu sur les différents chantiers et quartiers de la capitale économique afin de vérifier l’état d’avancement des travaux et discuter avec les populations.

Quatre des zones dont les ouvrages sont fortement surchargés dans Douala ont été visitées. Il s’agit du poste de Logbaba, le quartier de Ndogpassi 3, le poste de Ngodi-Bakoko et la Sad. Comme l’explique Hubert Feukam, sous-directeur des opérations et maintenance des réseaux HTA, si ces trois quartiers connaissent sans cesse des perturbations sur leurs différentes lignes, c’est surtout parce que ce sont des zones à très forte densité et qui ne cessent de s’accroitre. Certaines habitations ont été construites après la ligne, comme à Ndogpassi 3.

A la Sad par exemple, une frange des habitants a fait des installations autres que celles d’Aes-Sonel. En ce qui concerne le poste de Logbaba, il s’avère que ce sont des fuites de gaz sur les pôles des disjoncteurs qui déclenchent régulièrement des coupures dans les quartiers, et il y a des difficultés à reprendre les clients en cas de coupures. « Etant arrivés en fin de vie, il est de bon ton de les remplacer », a indiqué Hubert Feukam.

Les populations de Ndogpassi 3, elles, ont émis des doléances. Notamment l’arrêt ou la diminution des coupures intempestives de courant. Comme dans les autres quartiers, le problème de « poteaux pourris et tombés », était sur toutes les lèvres. Egalement les baisses de tension. Les chefs de blocs ont eux-mêmes soulevé les soucis de branchements pirates qui ont cours dans ce quartier populaire. D’après eux, c’est cette situation qui crée courts-circuits et de incendies. En conclusion, le DG a promis avec son équipe, de remédier progressivement à tous les problèmes soulevés.



Commentaires (0)
Seul les utilisateurs enregistrés peuvent écrire un commentaire!

!joomlacomment 4.0 Copyright (C) 2009 Compojoom.com . All rights reserved."



haut de page  
PUBLICITE
Bannière