Le magazine destiné à l’entreprise est sur le marché depuis fin avril.
Un bimestriel de 48 pages sur format A4. Une charte graphique sobre qui s’arrime au segment de lecteurs choisi par Challenge Pro, le « tout premier magazine au Cameroun spécialisé dans le management », selon Irène Kaljop, Directeur de la publication. Plus en détail, Challenge Pro « est mis à la disposition de l’entreprise pour communiquer sur ses performances, ses actions, ses ambitions, ses projets, dans l’objectif de développer un support de communication privilégié pour tous les professionnels. »
Autre objectif, précisé toujours par Irène Kaljop, « donner l’opportunité aux acteurs de la vie publique de communiquer sur leur vie professionnelle, leurs attentes, leurs projets, leurs perspectives de développement sur le court, moyen et long terme, leur style de management… ». Et le premier à recevoir cette opportunité, c’est Mathieu Mandeng, Directeur général de la Standard Chartered Bank. Qui dit de lui-même : « Je suis un manager situationnel ». Et pour ce premier numéro, le Dg a également signé l’éditorial. Une rubrique bien nommée d’ailleurs : « L’édito du manager ». Donner cet espace aux dirigeants, une originalité que le magazine a l’intention de renouveler pour les éditions à venir.
En plus donc du personnage à la Une, on retrouve dans ce numéro liminaire de Challenge Pro des sujets comme l’expansion des stations-services, la création d’entreprises, l’organisation de son temps pour une meilleure productivité, la conciliation vie professionnelle-vie privée, les activités des entreprises. Autant d’aspects contenus dans trois parties : Economie et finance, guide pratique du manager, Agenda. Avec Challenge Pro, le lecteur adepte du magazine français Management a l’occasion de plonger dans les réalités locales, d’être au fait de l’actualité des marchés camerounais, de leur comportement et des stratégies adoptées par les entreprises pour être plus compétitives.
Et pour être propriétaire d’un numéro du bimestriel qui compte passer mensuel dans sa deuxième année d’existence, il faudra débourser la somme de 1500 F.
