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Dossier de la Rédaction

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Partage à l'échelle sous-régionale d’expériences sur les Forêts

Les acteurs du secteur dans la sous-région récemment en conclave à Douala.

En matière d’information dans le secteur forestier, des efforts sont faits. Notamment dans les pays qui ont déjà ratifié les Accords de partenariat volontaire (Apv). Au Cameroun, Global Witness et le Centre pour l’Environnement et le Développement (Ced) ont procédé, dans le cadre du projet « Améliorer la transparence dans le secteur forestier », à l’analyse de la facilité d’accès et la disponibilité des informations forestières en 2011 et 2012. Dans le même cadre, ils ont mesuré les informations actuellement accessibles au public, et identifié les lacunes.

Cette évaluation leur a permis de produire un tableau des écarts dans la mise en œuvre des exigences de l’annexe VII de l’Apv. Au Cameroun toujours, un atelier multi-acteurs a été organisé en 2012, qui a permis aux participants de s’accorder sur une stratégie conjointe visant à faciliter la collecte et la diffusion de l’information sur le site Web du Minfof.

Au Congo, on a élaboré une stratégie de communication et développé un site Web qui donne des informations sur l’état d’avancement du processus Flegt/Apv. En Rdc, bien que l’accord de partenariat Union européenne-Rdc soit en cours de négociation, le Réseau Ressources naturelles (Rrn) a produit, dans le cadre du projet « Rendre le secteur forestier transparent », des rapports annuels sur l’état de la transparence dans le secteur.

Mais tout ceci reste insuffisant. C’est pourquoi le secrétariat général de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac) a décidé d’organiser la rencontre des 15 et 16 mai derniers de Douala, entre acteurs clés de la gestion forestière. Lesquels devaient réfléchir sur la problématique de l’accès à l’information sur le secteur forestier.

Selon Honoré Tabuna, coordonnateur du programme, « le marché européen est exigeant. Sans information claire, nous ne pouvons garantir la traçabilité des essences que nous vendons ». Pour Samuel Nguiffo, du Ced, « partager nos informations est bénéfique. Au moins on a une idée de qui se fait dans tous les pays concernés. »



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