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Dossier de la Rédaction

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Une jouvence déferlante pour la fête du 20 mai

De l’éducation de base à l’enseignement supérieur, les jeunes ont a offert un passage très coloré.

Eventails, bouquets de fleurs, étoiles… Les accessoires aux couleurs nationales sortis par les jeunes, ont donné à voir. C’est bien connu, les jeunes sont friands des dernières tendances, et l’effet de mode hier au Boulevard du 20 mai, c’était les majorettes. Qu’elles soient de l’université de Yaoundé I, de Yaoundé II, de l’Institut national de la jeunesse et des sports (Injs) ou de l’Institut Siantou supérieur, elles ont animé les rangs de leur joie communicative. Ces jeunes filles ont rivalisé de grâce, mais surtout de tenues originales. L’invite au voyage a été lancée par les majorettes de l’Université de Yaoundé I qui, avec leurs robes en raphia, ont apporté une touche traditionnelle à l’événement.

L’unité nationale, puisqu’il était question de cela, s’est également reflétée dans le passage des majorettes de l’Université de Yaoundé II soa vêtues comme des fées, étoiles dorées en main, qu’elles rejoignaient de temps à autre, comme pour symboliser mieux encore le thème du jour. Si les étudiants du supérieur se sont illustrés par les ballets de majorettes et leurs fanfares, les élèves de l’éducation de base eux ont crié leur amour à la nation par des chants patriotiques. Des messages appelant à la paix, mais aussi à l’atteinte de l’émergence. Des écoliers, qui malgré leur jeune âge, montrent leur attachement aux valeurs civiques. Plusieurs établissements ont représenté avec vaillance la capitale. Ces jeunes ont démontré leur vigueur, révélant à suffisance leur joie de participer à la 42e Fête nationale de l’Unité.


 

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