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Dossier de la Rédaction

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Echos du mondial

Des medias espions autour des Lions

Alors que la presse a droit à 20 minutes pour des prises de vue des entraînements des Lions au stade Kleber Andrade de Vitoria, on a pu observer des caméras planquées dans des immeubles en construction aux alentours.

Des médias brésiliens ont visiblement trouvé la parade pour pouvoir espionner l’équipe du Cameroun à grands renforts d’appareils de pointe. Et contre eux, la forte sécurité qui veille scrupuleusement au respect des consignes ne peut rien. Les médias locaux ont en tout cas mis le paquet pour suivre toutes les équipes. On comprend en tout cas comment ils sont au courant de tout ce qui se passe au sein de la délégation camerounaise. Ou comment ils ont réussi à prendre des photos des joueurs croates en tenue d’Adam.


Décalage total

L’arrivée au Brésil n’a été facile pour personne en raison notamment du décalage horaire. A Vitoria, il a fallu faire avec les quatre heures de différence avec le Cameroun et s’habituer à voir la nuit tomber dès 17h. A Manaus, il faut de nouveau sortir les calculettes pour savoir quelle heure il est au Cameroun, puisqu’on change de fuseau horaire en Amazonie (cinq heures de plus au Cameroun donc). Un vrai casse-tête et une source de fatigue donc puisqu’on se retrouve parfois à dormir trois ou quatre heures seulement. Mais on va faire comment ?


Délégation pléthorique

Au hit-parade des délégations pléthoriques au Brésil, le Cameroun est certainement parmi le trio de tête. C’est du moins l’avis des médias brésiliens qui s’amusent à suivre les membres de cette délégation, véritable melting-pot de tout et n’importe quoi, dans les rues et hôtels de Vitoria, question de savoir à quoi tout ce monde sert. Une interrogation loin d’être futile devant cette délégation dont le nombre exact est une énigme digne du Sphinx. Et dont la principale activité est de flâner à l’hôtel en attendant l’heure du buffet. Quand il n’est pas question de séances de shopping avec des « amies » qui ont eu la gentillesse de venir jouer les dames de compagnie. Ce n’est donc pas surprenant de ne pas apercevoir tout ce monde au stade pour soutenir les Lions puisqu’ils ne font pas le déplacement. Mais qui a d’abord dit qu’ils étaient là pour le football ?


Des villes et des surnoms

Les villes abritant la coupe du monde 2014 ne rivalisent pas seulement par la beauté de leurs stades. Mais aussi par leurs surnoms. D’accord, certains comme celui de Natal, « Cité du soleil » contrastent avec la réalité. Mais dans l’ensemble, ces petits noms traduisent bien la fierté qu’ont les populations, à vendre le label de leur ville. Ainsi, Manaus est présentée comme le « Paris des tropiques » ; Brasilia, la « capitale de l’espérance » ; Récife, « la Venise brésilienne » ; Cuiaba, « la cité verte » ; Curitiba, « la cité au sourire »… Mais le point commun à toutes ces villes, c’est bien leur beauté et leur propreté, leurs grandes avenues, le civisme et la courtoisie des populations. C’est clair, nous sommes dans un pays émergent.


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