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Dossier de la Rédaction

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Belgique-USA, Yes, they can !

Les Américains comptent sur leur mental pour venir à bout de Belges favoris ce mardi à Salvador de Bahia.

Pour certains observateurs, c’est du 50-50 ce mardi entre la Belgique et les Etats-Unis pour une place en quarts de finale de la coupe du monde 2014. Il faut dire que seulement deux rangs les séparent au classement Fifa : les Européens sont 11e alors que les USA sont classés au 13e rang mondial. A l’Arena Fonte Nova de Salvador de Bahia, d’autres spécialistes donnent les Diables rouges favoris. Et pour cause, c’est l’une des quatre équipes à être sortie de la phase de poules avec trois victoires. De plus, à l’aube de ce cinquième duel entre les deux pays, la Belgique part avec un léger avantage psychologique, elle qui a remporté les trois dernières oppositions, dont la plus récente date de 2013, en amical à Cleveland (USA) (4-2). Mais Marc Wilmots, le coach belge, préfère tempérer : « Le contexte est différent. Nous étions en stage et ça n’a rien à voir avec un match de coupe du monde ». C’est dire si le sélectionneur s’attend à une partie difficile face aux Yanks : « C’est une équipe physique, qui n’arrête pas de courir. Grâce à son entrejeu, elle met la pression sur l’adversaire et elle se bat sans cesse. Sur papier, les quatre points arrachés en poule n’impressionnent pas. Mais ils sont sortis d’un des groupes les plus durs ». Marc Wilmots ne pourra compter ni sur Anthony Vanden Borre, blessé face à la Corée du Sud, ni sur Steven Defour, suspendu un match après son carton rouge au cours de cette même rencontre. Des inquiétudes planent sur la présence de Vincent Kompany et Thomas Vermaelen en raison de pépins physiques.

Outre leurs qualités physiques, les Etats-Unis misent surtout sur leur mental de guerrier. « Je dis à mes joueurs que tout est possible après s’être qualifié devant le Portugal. Je leur dis dans les vestiaires Yes, we can, parce qu’on ne va pas s’arrêter là », expliquait en conférence de presse, le coach, Jürgen Klinsmann. Jozy Altidore, le robuste attaquant américain, est pour sa part incertain pour cette rencontre, victime d’une blessure musculaire. Dans tous les cas, José Mourinho, dans sa chronique sur Yahoo, voit bien les coéquipiers de Dempsey passer en quarts, comme en 2002. « Les Américains ont l’avantage d’avoir déjà affronté deux grosses équipes durant la phase de poule. Et ils ont montré qu’ils pouvaient être à la hauteur. Est-ce que la Belgique est meilleure que le Portugal et l’Allemagne? Non. Cela peut en tout cas savoir un impact psychologique ». Le pronostic du « Special One » se vérifiera de toutes les façons assez tôt

 

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