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Dossier de la Rédaction

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Echos du Brésil

On aurait pu croire que c’est le Brésil qui jouait hier au stade national de Brasilia. Avec des gradins pleins à craquer, une ambiance de folie, la France a passé un sale moment, le stade étant totalement acquis à la cause du Nigeria.


Le Nigéria comme chez lui

 D’ailleurs, pendant tout le match, les supporters brésiliens n’ont pas arrêté de scander « Nigeria », de siffler les moindres actions des Bleus ou d’applaudir les arrêts d’Enyeama, le gardien nigérian. Les supporters français ont bien essayé de donner de la voix, mais trop peu nombreux face à l’armada jaune venue soutenir les Super Eagles. Il faut dire que les Brésiliens ont la rancune tenace. Après les Argentins, ennemis héréditaires, la France est certainement l’équipe la moins appréciée ici. Personne n’a oublié cette fameuse finale de 1998 et cette défaite de la Seleçao (3-0) contre les Bleus.


Un chargé de presse suspendu

La Fifa a suspendu pour un match le chargé de presse de l’équipe du Brésil, accusé d’avoir frappé l’attaquant du Chili, Mauricio Pinilla à la pause du huitième de finale Brésil-Chili (1-1) samedi. La Fifa a précisé que Rodrigo Paiva avait reçu un carton rouge pour cet incident au cours de ce match et ne pourrait officier vendredi pour le quart contre la Colombie. « Ça se bousculait des deux côtés, je n’étais pas tout seul à être impliqué. Pinilla est venu me chercher et je me suis défendu. Je l’ai juste poussé », s’est défendu Paiva.


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