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Dossier de la Rédaction

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La Francophonie réunie en assemblée parlementaire au Canada

Les représentants de 79 parlements ou organisations interparlementaires clôturaient leur rencontre à Ottawa.

C’est en présence de 350 délégués, dont une vingtaine de présidents de parlement, que s’est officiellement ouverte lundi, la 40e session de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) à Ottawa, la capitale du Canada. Le gouverneur général du Canada, David Lloyd Johnston et le secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie, ont pris part à la cérémonie d’ouverture. Occasion pour Abdou Diouf d’exhorter les membres de l’APF à être, au sein de leurs parlements respectifs, « les ardents défenseurs des voies et moyens qui permettront de continuer à mettre en œuvre la coopération francophone ». Il les a aussi invités « à diffuser les idéaux et les valeurs qui animent la Francophonie, à promouvoir la langue » qui leur permet d’être ce qu’ils sont et ce qu’ils font.

Cette rencontre de l’APF a débuté, vendredi dernier ; par les travaux de son bureau, suivis de ceux de son réseau des femmes parlementaires samedi, ainsi que de ses commissions permanentes dimanche. Présidée par Andrée Champagne, sénatrice canadienne, cette assemblée consultative de la Francophonie vise à défendre la langue française et à en assurer le rayonnement. Sa 40e session qui s’achevait hier, constitue le dernier grand rendez-vous de la Francophonie, avant le sommet prévu les 29 et 30 novembre prochains à Dakar. Les chefs d’Etat éliront dans la capitale sénégalaise un nouveau secrétaire général de l’OIF, en remplacement d’Abdou Diouf. Une succession pour laquelle se bousculent de nombreuses personnalités, notamment africaines. Parmi les candidatures en lice, figurent trois Africains : l'ancien président burundais Pierre Buyoya, les anciens ministres et écrivains Henri Lopes et Jean-Claude de l'Estrac, respectivement du Congo-Brazzaville et l'île Maurice. Autre candidature, celle de Michaelle Jean. L’ex-gouverneur du Canada a d’ailleurs pris part, en tant qu’invitée spéciale de la délégation de son pays, à la cérémonie d’ouverture de la rencontre d’Ottawa.  

Créé en 1997, le poste de Sg de l’OIF est toujours occupé par des Africains. Le premier fut l'Égyptien et ancien secrétaire général de l’ONU, Boutros Boutros-Ghali. Abdou Diouf lui a succédé en 2002.

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