Le quotidien reçoit depuis mardi dernier ses lecteurs et un public curieux.
Alice Nguélé Ndi est sans emploi. Fidèle lectrice de Cameroon Tribune, c’est dans son édition de mardi qu’elle a découvert le programme des célébrations des 40 ans du quotidien. Curieuse, elle a décidé de s’intéresser aux journées portes ouvertes organisées à l’occasion par la Sopecam, société éditrice du journal. Elle avoue avoir effectué le trajet à pied, du lieu dit « Dakar en bas » au siège, par amour pour la publication. Très intéressée par les activités proposées dans les stands, elle les a in extenso parcourues patiemment. Premier arrêt, l’espace animé par la Sopecam Marketing and Communications. Les produits édités par l’entreprise sont visibles dans ce mini-salon. « Cameroon Tribune est mon préféré. On l’achète en famille tous les jours. Je voulais voir comment on travaille ici pour nous fournir ces informations », explique la jeune dame.
Son émerveillement est perceptible à la vue de l’exposition photo de la direction de la Rédaction de Cameroon Tribune (Drct). De l’exposition des « Une de CT d’hier à aujourd’hui », la jeune dame, comme des dizaines de visiteurs qui la suivront, a pu apprécier le passage d’un CT en noir et blanc, à celui en couleur qu’elle tient aujourd’hui. Plus : des photos en noir et blanc ou quadrichromie mettant en vitrine des scènes de vie au sein de la Drct, dévoilent quelques-uns des journalistes qu’on ne connaît généralement que par la signature. Un instant de rencontre avec des noms, des icônes parfois lointaines mais aujourd’hui si proches.
D’Henri Bandolo, Paul Célestin Ndembiyembe, Marie Claire Nnana (pour les directeurs de publication) à Nkendem Forbinake (Editorialiste), Essama Essomba (Editorialiste), Badjang ba Nkeng (directeur de la rédaction), Richard Kwang Kometa (directeur adjoint de la rédaction), Yves Atanga (rédacteur en chef), etc., la visiteuse peut désormais coller une image à chacun de ces noms dont le souvenir, lorsqu’il n’existe pas seulement sur des évocations par son père, ne tient qu’à quelques lignes parcourues dans le journal. Cerise sur le gâteau, Alice Nguélé a pu « vivre » en images une « conférence de rédaction à CT », avant de parcourir tout le processus de fabrication de son journal préféré, et une ultime ballade dans les ateliers en pleine mutation de l’entreprise. Jusqu’au bout de la chaîne, pas de place pour l’ennui.
Des partenaires présents participent à leur manière à la fête. C’est le cas de Sonia Balepa, promotrice d’essence de beauté, une gamme de produits cosmétiques toute nouvelle. Aux visiteurs, elle offre un make-up léger. Tenez vous bien, c’est gratuit. « Je suis là pour ma gamme de produits à base d’acides de fruits et de collagène. C’est une gamme qui uniformise le teint. Et cet anniversaire de Cameroon Tribune est une excellente plateforme d’expression pour moi », confie-t-elle. Non loin, MTN Cameroon, société de téléphonie mobile, Mayor et leurs produits soutiennent CT et la SOPECAM. Brussels Airlines lui, est partenaire de la tombola annoncée pour demain, au cours de la soirée de gala. « 50 lots sont à gagner ». Préparez-vous donc. Sur place, un quizz autour de questions sur CT et la SOPECAM donne l’opportunité à chacun de gagner un gadget-souvenir de cet événement qui restera mémorable pour beaucoup. Jusqu’à 16h jeudi, les portes de l’entreprise restent ouvertes au public, avec des lots à emporter.
