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Dossier de la Rédaction

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Les premières dames parleront santé et éducation

paul-biya-a-washingtonLes investissements dans ces domaines et dans le partenariat public-privé seront au centre du symposium organisé,mercredi, par Michelle Obama.

Les épouses des chefs d’Etat africains seront réunies, mercredi 6 août, autour de Michelle Obama, la première dame des Etats-Unis.

C’est dans le cadre d’un symposium qu’elle organise en collaboration avec Laura Bush et le Bush Institute, dans les locaux du John F. Kennedy Center for the Performing Arts. Ces assises qui dureront une journée entière seront focalisées sur l’impact des investissements sur l’éducation, la santé, le partenariat public-privé. Des sujets qui, du reste, préoccupent au quotidien la première dame camerounaise, Chantal Biya, arrivée à Washington aux côtés de son illustre époux le 2 août dernier. C’est certainement de ce fait que sa présence dans la capitale américaine retient déjà l’attention des médias, au rang desquels le mythique Washington Post.


En effet, depuis 1994, l’épouse du chef de l’Etat a fait de la santé, l’éducation, la lutte contre les maladies et diverses formes de souffrances son cheval de bataille. C’est quasiment à bras le corps qu’elle mène une lutte âpre contre le VIH/sida, la mortalité maternelle et infantile, l’analphabétisme, la pauvreté et apporte son soutien à la vaccination des enfants, entre autres. Présidente-fondatrice de Synergies africaines contre le Sida et les souffrances, Mme Chantal Biya a su regrouper depuis 2002 ses congénères africaines, des personnes physiques et morales de bonne volonté ainsi que des scientifiques de haut vol pour cette cause. Grâce à cette mobilisation, plusieurs pays africains dont le Niger, le Mali, le Burkina Faso, la Guinée, le Cameroun ont déjà pu bénéficier de programmes de prévention de la transmission du VIH/Sida de la mère à l’enfant, notamment. La première dame a également mis sur pied une structure pour soutenir la recherche sur la pandémie du siècle : le Centre international de référence Chantal Biya pour la recherche et la prévention du Sida (CIRCB).

Autres structures : la Fondation Chantal Biya qui dispose d’un centre mère et enfant spécialisé dans la prise en charge médicale de ces couches de la population. L’institution qui a su, dès les premiers instants, tirer partie du partenariat public-privé ne cesse de s’inventer au quotidien pour améliorer les conditions de vie des personnes vulnérables. L’éducation constituant l’un de ses centres d’intérêt, c’est avec bonheur qu’elle s’est investie dans un programme de construction de structures scolaires publiques modernes appelé « Ecoles les champions FCB ». Chacune des dix régions du Cameroun abrite au moins un de ces établissements scolaires primaires offrant d’excellentes conditions de formation aux élèves. Comment évoquer les institutions fondées par la première dame sans parler du Cercle des amis du Cameroun (Cerac) ? Un exemple remarquable de partenariat public-privé réussi et permettant d’apporter régulièrement de l’aide aux populations défavorisées.

Ces différents chantiers humanitaires de Mme Chantal Biya lui ont déjà valu la reconnaissance des populations camerounaises et des distinctions honorifiques au-delà de nos frontières. La dernière en date, après le titre d’ambassadrice de bonne volonté de l’Unesco, remonte au 30 janvier 2014. La première dame a été élevée à la dignité de Commandeur de  l’Ordre international de la protection civile, la plus haute distinction de l’OIPC. C’est la première fois qu’une première dame, à travers le monde, reçoit cette distinction qui récompense l’engagement multiforme de Chantal Biya. Preuve que l’ensemble de son œuvre est unanimement reconnu.paul-biya-a-washington

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