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Dossier de la Rédaction

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La fièvre jaune, dangereuse et peu connue

 La plupart des personnes n’en entendent parler qu’au travers des calendriers de vaccination et des carnets qui vont avec. Certains médecins avouent même avoir terminé leur carrière, sans jamais avoir vu un cas de fièvre jaune. Pourtant, l’affection existe bel et bien. Il s’agit même d’une maladie très grave, se manifestant par une atteinte du foie et des reins. Elle est transmise à l’homme par les piqûres de moustique et touche environ 200 000 personnes chaque année, causant 30 000 décès à travers le monde.

Les symptômes apparaissent après une incubation de trois à six jours et associent une fièvre élevée, des maux de tête, des douleurs musculaires généralisées, nausées, vomissements. Après une courte période de rémission, la fièvre reprend, accompagnée de complications hépatiques, rénales et hémorragiques. L’évolution se fait soit vers le décès (10 à 50% des cas), soit vers la guérison avec une immunité solide et durable.

Il n’existe aucun traitement curatif pour cette maladie. Cette infection sévissant en Afrique subsaharienne et dans certains pays d’Amérique latine peut être prévenue par un vaccin : l’antiamarile.  La vaccination contre la fièvre jaune permet d’obtenir une protection efficace (95%) au bout de dix jours après son injection. D'après les études récentes, la protection conférée dure 30 à 35 ans, voire même toute la vie. Cependant, la durée de validité du certificat de vaccination reste maintenue à 10 ans. Outre la vaccination, il est recommandé pour éviter de contracter la fièvre jaune d’appliquer des mesures individuelles de protection contre les piqûres de moustiques. Mais aussi de faire attention au singe, principal réservoir du virus.


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