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Dossier de la Rédaction

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La Séléka sème encore le trouble en Centrafrique

L’ex-rébellion demande à ses cadres de se retirer du nouveau gouvernement.


L’ex-rébellion centrafricaine vient de rejeter toute participation de ses membres dans le nouveau gouvernement dirigé par le Premier ministre Mahamat Kamoun. A travers un communiqué rendu public en début de semaine, la Séléka prend pour prétexte la non-consultation de son bureau politique. «La Séléka a été scandalisée par la diffusion de la liste des membres du gouvernement comportant les noms de trois de ses hauts cadres. Pourtant, le Bureau politique n’a jamais été consulté et n’a pas remis une quelconque liste à cet effet», précise l’ex-rébellion. Par ailleurs, la Séléka se dit plutôt disposée au principe de nomination consensuelle d’un Premier ministre et de son gouvernement.

Suite à la promesse de représailles formulée par la Séléka à l’endroit des trois cadres admis au nouveau gouvernement, le nouveau Premier ministre a promis le 21 août dernier de  «contrecarrer» ceux qu’il qualifie d’«ennemis de la paix». Dans un entretien avec l’agence de presse Xinhua, Mahamat Kamoun  s’est voulu ferme : «Les obstacles de la Séléka, nous les avons compris. Ils continuent de raisonner comme s’ils étaient encore au pouvoir. S’ils avaient bien géré, on n’en serait pas là. Ils parlent de l’accord de N’djamena qui leur attribue le poste de Premier ministre. C’est de la pure fiction», a-t-il déclaré.

-Des éléments de la Séléka.



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