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En Côte d’Ivoire, la présidentielle de 2015 nourrit des ambitions

electeur-voteA moins d’un an de cette échéance, certains partis politiques connaissent déjà une certaine effervescence marquée par l’annonce par certains cadres de leur candidature.

Au fur et à mesure que l’on s’achemine vers 2015, année électorale en Côte d’Ivoire,

on observe une certaine animation au sein des principales formations politiques. En mai dernier, Mamadou Koulibaly, ancien président de l’Assemblée nationale, s’est déclaré candidat à la magistrature suprême en 2015. Le 17 septembre dernier au meeting de clôture de la visite d’Etat du président Alassane Ouattara dans la région de l’Issoufou, Henri Konan Bédié, président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), en a appelé au soutien de la candidature unique de l’actuel chef de l’Etat au sein du Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP). L’appel de M. Bédié avait été qualifié à l’occasion par certains cadres du PDCI de «trahison».


Essy Amara, bien qu’absent du pays selon des sources, a fait déposer sa candidature au siège du PDCI à Cocody à Abidjan. D’après Alain Zoukou, secrétaire général d’un collège d’élus favorables à la candidature de l’ancien ministre des Affaires étrangères : «ce n’est pas trahir le PDCI, mais plutôt se conformer à la volonté unanimement exprimée par les militants de la base.» Comme il fallait s’y attendre, Kouadio Konan Bertin ne s’est pas fait prier pour annoncer son intention d’être le candidat de cette formation politique. «Le PDCI doit avoir un candidat. Mieux, un militant actif J’estime qu’il y a des cadres, je pense que j’en fais partie, qui au PDCI-RDA peuvent faire mieux que ce qu’on vit aujourd’hui (…) Oui, je suis candidat à l’élection présidentielle de 2015.» Les dossiers de ces candidats à la candidature devraient être examinés par le bureau politique le 18 décembre prochain pour se prononcer sur la désignation ou non d’un candidat du PDCI à l’élection présidentielle de 2015.

De son côté, le Front populaire ivoirien (FPI) reste secouée par une crise interne, depuis la validation en novembre dernier par le Comité de contrôle de ce parti des candidatures de Laurent Gbagbo et de Pascal Affi N’Guessan. Ce dernier, président du FPI depuis 2011, vient d’assigner ses camarades en justice pour invalider la candidature de M. Gbagbo, en détention à la Cour pénale internationale à la Haye. Le Congrès du FPI prévu du 12 au 14 décembre prochain permettra de désigner le nouveau président du principal parti de l’opposition ivoirienne.electeur-vote

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