La salle de conférence de la délégation régionale du ministère de la Promotion de la Femme et de la Famille pour le Centre a abrité mardi dernier à Yaoundé, la cérémonie marquant la 11e Journée internationale de lutte contre la corruption. C’était en présence de l’inspecteur général des services régionaux du Centre, François Gabriel Litet, représentant du gouverneur du Centre et du Haut commissaire de Grande Bretagne au Cameroun, Brian Olley.
En lisant les deux discours apprêtés pour la circonstance notamment celui du président de la Commission nationale anti-corruption (Conac) et du secrétaire général des Nations-Unies, François Gabriel Litet, a insisté sur deux points essentiels. La corruption n’est pas une fatalité, lutter contre elle est une affaire de tous et de chacun. Bien avant cela, il a tenu à préciser que ce fléau entrave les efforts déployés pour réaliser les Objectifs du millénaire pour le développement, il sape la démocratie et l’Etat de droit, fausse les marchés, dégrade la qualité de la vie et favorise la criminalité organisée, le terrorisme ainsi que d’autres menaces pour la sécurité humaine.
