Les deux magazines étaient en promotion jeudi chez l’éditeur de presse.

Il aurait bien aimé prendre un abonnement, mais ce sera pour une autre fois. Après avoir profité de la vente promotionnelle de certaines productions de la branche édition de la Société de presse et d’éditions du Cameroun (Sopecam), Albert Biassou, venu de son lointain lycée de Tekere (par Maga) dans le Mayo-Danay où il exerce, a jeté un regard sur les couvertures colorées de « Week-End » et « Nyanga », avant de quitter le stand. Comme lui, beaucoup ont pu jeudi, redécouvrir les deux journaux-phares de la presse magazine nationale.

Le marketing de la Sopecam, à l’occasion, a dédié ce jeudi à ces publications vendues à prix réduits (400 F au lieu de 500 F pour l’hebdo et 1000 F pour le mensuel habituellement vendu à 1500 F). « On veut d’abord intéresser ceux qui ne nous lisent pas souvent. C’est une offensive vers ces lecteurs intéressés par la vie du sport, des loisirs ; les noceurs qui aiment sortir le week-end, être « in » comme on dit et enfin nos clients qui peuvent faire lire davantage : les chefs de famille pour leurs conjoints et enfants, les patrons, etc. », susurre une hôtesse, entre deux clients.

Comme ses collègues chargées des ventes, elle a arpenté les allées du salon à la recherche d’une centaine de clients, entre autres objectifs de la journée durant laquelle ces amazones du marketing allaient pêcher des abonnements aux magazines. Une formule qui se couple aisément d’ailleurs avec l’abonnement au quotidien « Cameron Tribune ». Pour quelques heureux veinards, avertis cependant, il y a aussi eu un quiz pour gagner des abonnements gratuits. Jusqu’à un an de lecture gratuite !  

Cette quatrième journée thématique s’achevait hier en début de soirée. Elle a aussi donné l’occasion au team commercial de s’informer davantage sur les désirs des abonnés et à la rédaction des magazines de mieux apprécier les attentes des lecteurs. « C’est une promesse que nous leur faisons : on tiendra compte de leurs avis. D’ailleurs, « Week-End » est actuellement penché sur la question de son lifting. Les clients que nous rencontrons ici ne peuvent qu’enrichir ces contenus remodelés », a confié Pierre Ambassa, de la Division en charge de l’Exploitation.