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Dossier de la Rédaction

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Une longue session de travail intense pour le conseil supérieur de la magistrature

paul-biya-preside-conseil-magistratureA l’ordre du jour de la réunion présidée jeudi au palais de l’Unité par le chef de l’Etat, des dossiers relatifs à la discipline, à l’intégration des auditeurs de justice, à la promotion, à la nomination et à l’affectation des magistrats.

 Les personnalités attendues jeudi au palais de l’Unité pour prendre part à la session du Conseil supérieur de la magistrature ont été accueillies par le protocole d’Etat  entre 10H et 10H30. Il s’est agi de Laurent Esso, ministre d’Etat, ministre de la Justice, garde des Sceaux, vice-président du Conseil supérieur de la magistrature ; Mme Brigitte Mebande, membre titulaire ; Mme Lydienne Eyoum Minono épse Epoube , membre suppléant ; Paul Nji Tumasang, membre suppléant ; Clément Atangana, membre titulaire, rapporteur ; Frédéric Moche Fayeu, membre titulaire ; Mme Lucy Asuagbor, membre titulaire ; Albert  Ekono Nna, membre titulaire ; Jean Foumane Akame, secrétaire du Conseil supérieur de la magistrature . Après les honneurs rendus par la haie dédiée, les personnalités ont été tour à tour conduites, selon leur arrivée, vers la salle des conseils. Entre-temps, sont aussi arrivés au palais de l’Unité, de nombreux avocats  inscrits au barreau du Cameroun  parmi lesquels des  noms bien connus tels que Me Akere Muna et Charles Tchoungang, deux anciens bâtonniers. Le président Paul Biya, président du Conseil supérieur de la magistrature arrive dans la salle des conseils à 11H. Après la prise d’images par les cameramen et les photographes, la réunion peut commencer. A huis clos.

Une heure environ plus tard, Me Akere Muna, aux côtés duquel se trouvent Me Fernand Honoré Tagouemekong et Me Claude Glodomer Lontsie, revient sur le perron du palais de l’Unité. Il indique être venu défendre son client devant le Conseil supérieur de la magistrature, conformément aux lois de la République. Il en a été de même de trois autres affaires disciplinaires où les mis en cause, appelés, ont été tour à tour défendus par Mes Charles Tchoungang et Me Nakong Clément, puis Me Kolove Maxime et enfin par Me Marthe Zintchem à Bodio. Tous ces avocats ont bien évidemment respecté le secret des délibérations mais disaient attendre avec sérénité les décisions.

Les travaux se sont achevés aux environs de 15H45. Devant  la presse, le vice-président du Conseil, Laurent Esso, a relevé l’importance de l’indépendance du pouvoir judiciaire au regard des autres pouvoirs définis par la loi fondamentale de notre pays. Cette indépendance est garantie par le président de la République. Dans l’examen d’un certain nombre de dossiers  à l’ordre du jour, le président de la République s’entoure des avis du Conseil supérieur de la magistrature dont il a réuni les membres. Il s’agit notamment des dossiers  disciplinaires, de l’intégration dans la magistrature des auditeurs de justice (années 2012, 2013 et 2014), de l’établissement du tableau d’avancement des magistrats, de la promotion, de la nomination et de l’affectation des magistrats. Selon de bonnes sources, la désignation de deux membres du conseil  figurait aussi à l’ordre du jour.paul-biya-preside-conseil-magistrature

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