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Au Congo, le parti au pouvoir en conclave

Les cadres de cette formation politique ont notamment planché sur une possible modification de la Constitution.


Les membres du Comité central du Parti congolais du travail (PCT) étaient encore conclave mardi pour se prononcer sur la modification de la Constitution au moment où nous mettions sous presse. En effet, ces cadres du parti au pouvoir devraient se prononcer sur une éventuelle révision du texte fondamental, entre autres sujets. Car, la classe politique congolaise et la Communauté internationale prêtent au président Denis Sassou Nguesso l’intention de vouloir faire sauter le verrou sur la limitation du nombre de mandats afin de se représenter en 2016. Selon l’article 57 de la constitution congolaise du 20 janvier 2002, «Le président de la République est élu pour sept ans au suffrage universel direct. Il est rééligible une fois». Elu en 2002, puis réélu en 2009, le président Sassou Nguesso est sous le coup de cette disposition constitutionnelle.

L’onction du Parti congolais du travail ouvrirait donc un grand boulevard au président sortant parce que disposant d’une majorité écrasante dans les deux chambres du Parlement. A l’Assemblée nationale, sur les 136 sièges, la formation politique de Denis Sassou Nguesso dispose à elle seule de 89 sièges et de 28 autres issus des partis alliés depuis les élections législatives d’octobre dernier. Alors qu’au Sénat, sur les 72 sièges le PCT et ses alliés raflent la mise avec 63 sénateurs.

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