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Dossier de la Rédaction

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Dibamba-léproserie: 60 ans d’intégration

salle-classe-dibambaDe nombreuses activités au programme de cette célébration.

Ce 9 janvier 2015 est jour de remise de dons à l’école Sainte Geneviève-Marie de la Dibamba. Ce sera l’une des activités organisées dans le cadre de la célébration des 60 ans de la léproserie de la Dibamba. Une commémoration débutée le 21 décembre 2014 par le lancement officiel du mini-tournoi de football. Et qui connaitra son aboutissement le 25 janvier prochain. Au programme entre autres de ce jour-J, une messe pontificale, le dévoilement de la plaque commémorative des bâtisseurs de la Dibamba, une exposition des objets d’art et des souvenirs de la léproserie.

Et tout au long de la période, on aura la célébration des mariages collectifs des couples du soixantenaire, une soirée culturelle récréative, des dons aux malades, des activités sportives et ludiques. Des articulations qui ne sont pas réservées à la seule collectivité de la Dibamba-léproserie, mais sont ouvertes à tous. Parce que, comme le disent les responsables du comité de gestion de la Dibamba (Cogedi), il est important de remercier tous ceux qui ont participé à améliorer leurs conditions de vie, « l’Etat du Cameroun, les missionnaires catholiques, traditionnelles du canton, les populations environnantes… qui ont œuvré afin que la léproserie devienne une terre d’amour, de vie et d’espérance ».

En rappel, à l’époque coloniale, la léproserie était située à Douala-Bassa, sur le site actuel de l’université. En août 1954, l’autorité gouvernante du pays décide de déplacer la ladrerie sur le site actuel. Site dont le nom nous est révélé par Sa Majesté Madiba Songuè, chef du canton bakoko et parrain des 60 ans de la collectivité de Dibamba-Léproserie: « Cet espace s’appelle en réalité Yabong. C’était l’une des collectivités familiales du canton bakoko, mais la plupart des membres autochtones de cette communauté avaient presque tous disparu, étaient morts. Donc l’endroit était quasiment vide. Mais aujourd’hui qui fait partie aujourd’hui intégrante du village qu’on appelle aujourd’hui Bwang-Bakoko ».salle-classe-dibamba

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