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Dossier de la Rédaction

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Les Journées des Editions Sopecam ont atteint la vitesse de croisière !

L’opération «un livre à 1000 F» lancée lundi à Yaoundé attire de nombreux fans de lecture.

Une écoute radio, et le voilà à Yaoundé pour se dégoter des ouvrages. Le Pr. Augustin Chi, enseignant à la Faculté des sciences juridiques de l’Université de Douala repart la mallette plus lourde que lorsqu’il a fait son entrée lundi matin dans l’enceinte de la direction commerciale et marketing de la Sopecam à Yaoundé. Sept livres ont enrichi la bibliothèque de ce dévoreur d’écrits. C’est que l’opération un livre à 1000 F de la Société de Presse et d’Editions du Cameroun fait des heureux. Selon Michel Ndi, chef de service des Editions, « un millier de visiteurs sont attendus. »

Un chiffre impressionnant, mais le ballet des férus de lecture hier devant les stands l’était tout aussi. Ils sont attirés par les prix promotionnels, mais pas seulement. Oui, les livres publiés entre 1980 et 1992, en somme avant les années 2000, coûtent 1000 F, mais sur les ouvrages plus récents, une remise de 20% est également proposée. C’est un saut dans le temps. Les eighties étaient plutôt prolifiques chez les Editions Sopecam. Dans la série d’œuvres de cette période, des romans, des manuels scolaires, des collections. Certains se replongent en 1990 avec « Accidents de la circulation : préjudices-réparations » de Michel Kuemo, d’autres font un tour en 1987 avec « Une vie à l’envers », ce roman de Patrice Etoundi Mballa, dont l’illustration de la couverture est signée Jean-Marie Ahanda. Deux anciens de CT…

Ce rendez-vous littéraire est l’occasion de dévoiler le savoir-faire des éditions Sopecam. « Nous avons environ 150 titres à faire découvrir durant ces journées. Il faut que les gens viennent, qu’ils prennent connaissance de ce que nous avons fait par le passé, et de ce que nous faisons actuellement », déclare Michel Ndi. L’invitation a d’ailleurs séduit Edouard Silaben Sande, un autre visiteur. Dans son sac à dos, deux nouveaux livres à 1.000 F. « Je regrette tout de même qu’il n’y ait pas assez de romans, c’est ça qui m’intéresse », dit-il. Opinion que ne partage pas un autre visiteur, qui s’en va, avec un des cinq volumes de « L’appel du peuple » sous le bras.

Ce jour, les journées des Editions Sopecam vont prendre une allure plus didactique avec le forum : « Auteur, acteur de choix dans la promotion de son œuvre ». 11 auteurs-maisons discuteront sur la possibilité de faire plus dans le processus de commercialisation de leurs livres. Parmi les écrivains attendus, Jacqueline Ayina « Tourments de femmes », Princesse Sika-Beha « Enfance de rêve » ou encore Moustapha Ramadam Nlend « Amour et perfidie ». La fête de la lecture à la Sopecam s’achève mardi.

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